ACTION SOCIALE SNCF

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Saint-Jacut-de-la-Mer, encore un établissement voué à la vente !

Saint-Jacut-de-la-Mer est un établissement SNCF de séjour temporaire, qui sert à accueillir en Bretagne les aidants qui ont besoin de repos. Lors de la dernière réunion de la Commission travaux de la COFASS du 6 juin, la direction n’a pas fait dans la demi-mesure. En effet, il était acté depuis l’année dernière la remise en état complet de cet établissement.

Avec les dirigeants de l’Action sociale, la parole donnée n’a que peu de valeur… Tous les ans, on nous annonce que le projet de tel ou tel établissement doit être revu, principalement pour des raisons budgétaires. Quelques mois après, c’est toujours la même soupe qui nous est servie : « nous sommes désolés, mais nous allons devoir nous séparer de cet établissement… ».

Stop aux ventes et aux fermetures ! 

Courtemont-Varennes, ÉHPAD, centres d’Action sociale, cabinets médicaux : ça suffit ! Le 6 juin dernier, la CFDT a eu le droit à un petit assaisonnement dans la soupe concernant seulement un petit lifting de façade : « (…) nous avons dû revoir le projet à la baisse. Budgétairement, il n’est pas concevable de dépenser 1,2 million d’euros pour un seul établissement, alors que 100 000 € devraient suffire… ».

Ce qu’il faut savoir

Chaque année, l’Action sociale place de l’argent sur un compte que nous appelons « report à nouveau ». Il s’agit des sommes qui ne sont pas dépensées lors de l’année précédente pour la réhabilitation des établissements. À ce jour, ce sont plus de 25 millions d’euros qui y sont épargnés depuis des années !

La messe est dite, la soupe est prête

L’année prochaine, le directeur de l’Action sociale fera comme ses prédécesseurs, il va nous annoncer la vente du site de Saint-Jacut-de-la-Mer.

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NAO 2019

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NAO 2019

Négociations salariales

Après quatre années de gel des salaires, les efforts des cheminots doivent être récompensés

La négociation sur les salaires aura lieu le 27 juin prochain. Ce rendez-vous annuel est incontournable. Chaque année, la CFDT porte des revendications destinées à améliorer le niveau de vie de tous les cheminots. Cette année, la négociation salariale vous est donc primordiale.

Le contexte de mise en place du pacte ferroviaire est âpre et difficile pour les cheminots 

  • L’absence de visibilité interroge sur le futur.
  • L’arrêt du recrutement au statut alors que le nouveau modèle social n’a pas encore été négocié pose de nombreuses questions sur les déroulés de carrière et les parcours professionnels.
  • Les incertitudes sur le nouveau cadre social à construire pèsent notamment sur les cheminots contractuels.

La CFDT l’a dit dès le mois de juin 2018 : des signes forts doivent être donnés aux cheminots

C’est ainsi que la CFDT s’était adressée à la direction du Groupe public pour réclamer notamment un véritable 13e mois pour tous les cheminots et un alignement en valeur relative de La prime sur la GIR. Des engagements avaient été pris par la direction. Il est grand temps de les concrétiser ! Pour la CFDT, 2019 doit être une année utile. Des signes positifs, mesurables et engageants doivent être donnés aux cheminots. Ce rendez-vous salarial est l’occasion pour que le GPF revienne vers les cheminots et propose une autre réponse que le silence et l’indifférence.

Gel des salaires : ça suffit ! 

Depuis l’accord signé en 2014, les augmentations sont à zéro. Depuis quatre années, les négociations ont toujours buté sur les mêmes prétextes : contexte économique défavorable, arrivée de la concurrence qui oblige à une cure d’amaigrissement préventif, choix de la tutelle, etc. Pourtant, la direction communique largement sur les bons résultats du GPF et se félicite de la qualité de la production. Les indicateurs de robustesse, de régularité ou encore de sécurité s’améliorent. Cette évolution positive est due à l’engagement, au professionnalisme et à la compétence des cheminots.

Il est indispensable qu’un juste retour soit fait 

Dans un contexte où les effectifs ne cessent de diminuer, où la pression de la productivité est accrue et les conditions sociales sont mises à mal, les efforts des cheminots doivent être récompensés.

Nos principes & revendications

La CFDT demande des augmentations salariales pour tous les agents. Quels sont les trois principes défendus par la CFDT ?

  • L’égalité, avec une progression du pouvoir d’achat pour tous les cheminots, qu’ils soient de l’Épic de tête, de Mobilités ou de Réseau. Mettons fin au refus dogmatique des mesures d’augmentation générale : un signe tangible doit enfin être apporté à tous.
  • La solidarité, avec une aide aux salaires les plus bas. L’épisode de fin d’année autour de la prime Macron a démontré que plus de deux tiers des cheminots ont un revenu inférieur à 2 400 euros bruts par mois. Il faut agir !
  • La justice, avec des mesures qui récompensent les efforts et l’engagement des cheminots.

Toutes les revendications portées par la CFDT lors de cette table ronde répondront à ces principes. La mobilisation des cheminots lors de la journée du 4 juin montre que la colère est profonde et sincère. Il est grand temps que la direction de la SNCF y réponde par des mesures concrètes et visibles pour toutes et tous.

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D2I À 48 HEURES

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D2I À 48 HEURES

Droit de grève

La CFDT obtient à l’Assemblée nationale le retour du délai de dépôt des D2I à 48 heures

Après avoir obtenu gain de cause au tribunal de grande instance, puis en appel dans le contentieux qu’elle avait initié contre la SNCF sur le décompte des jours de grève, la CFDT démontre sa détermination à faire respecter le droit. Sur ce sujet, comme sur d’autres, la CFDT agit à tous les niveaux dans l’intérêt des cheminots.

Épisode 1

Une mesure dogmatique passée pendant une séance de nuit
Malgré des argumentaires détaillés transmis par la CFDT aux sénateurs et au gouvernement pour contrer un amendement de la droite sénatoriale, le projet de loi d’orientation des mobilités (LOM) avait été modifié pour allonger le délai de dépôt des D2I à 72 heures (voir notre tract du 8 avril dernier en allant sur bit.ly/2G3I7eC).

Épisode 2 

L’action décisive de la CFDT pour rétablir le droit
Comme elle s’y était engagée, la CFDT a proposé aux députés un amendement de suppression de cette mauvaise mesure. Cet amendement sur les D2I a été présenté par la CFDT parmi la soixantaine de propositions d’amendements qu’elle a portés à l’Assemblée nationale. La CFDT a obtenu ce retour à la situation initiale dans le respect d’un droit de grève déjà fortement encadré par les obligations de service public de la SNCF. L’amendement de suppression CFDT a été porté et défendu en commission par les rapporteurs du projet de loi. Les députés l’ont adopté à la majorité, ce qui rétablit le droit existant. Cependant, la CFDT reste vigilante. Des députés de la droite républicaine à l’Assemblée nationale cherchent à revenir de nouveau sur cette mesure. Il y a peu de risque qu’ils obtiennent une majorité sur ce point, mais la CFDT a quand même préféré diffuser largement son contre-argumentaire aux parlementaires.

Je consulte l’amendement de la CFDT dans son intégralité en cliquant ici

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AGENCES GROUPES #2

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AGENCES GROUPES #2

Challenge CFDT : Job’N Go !

Depuis l’annonce de la fermeture des agences groupes, la direction continue de mépriser les agents en situation de suppression de postes. En effet, toujours dans sa logique financière, elle maintient les boosts et challenges (book’N Go, mails & appels en 24 heures, etc.). Pour la CFDT, c’est inacceptable. Nous lançons donc à notre tour un challenge à la direction : trouver un job en 24 heures à tous les cheminots en situation de reclassement !

Contactez vos représentant·e·s CFDT Cheminots

Une seule adresse mail pour toute la France : agencesgroupes@cfdtcheminots.org

  • Nanterre : Alain Bureau
  • Lyon : Jérôme Revers
  • Nantes : Louis-Marie Guillou
  • Lille : Géraldine Skiba
  • Marseille : Jérémy Sanchez
  • Bordeaux : Rachel Planchenault
  • Strasbourg : Sévérine Jernasz

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EDD3C #1 2019

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EDD3C #1 2019

Dans ce numéro

  • L’ouverture à la concurrence des TET & TER : le point par région

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NOUVEL’R #1

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NOUVEL’R #1

Nouvel’R saison 2 : un remake des Infralog territoriaux

Lors du lancement du projet Nouvel’R à Rotterdam, le président Jeantet avait annoncé le gel de tous les projets de réorganisation à l’Infra Maintenance & Travaux. Le temps de recaler quelques scripts et de redistribuer les rôles principaux et voici la saison 2 en exclusivité pour vous.

Prologue

Les rumeurs de remise en route du projet se font insistantes.

Acte 1

La CFDT s’invite en DCI auprès de la direction de SNCF Réseau, qui confirme la remise en route du projet.

Acte 2

Les directions zonales inscrivent le projet à l’ordre du jour des CSE.

Acte 3

Les directeurs des directions zonales fournissent des lettres de cadrage aux établissements concernés.

Acte 4

Mise en œuvre du projet courant 2020.

Les informations obtenues lors de la DCI nationale 

Dans le cadre de la politique industrielle, la démarche doit d’abord questionner sur les process avant de porter sur des propositions d’organisation.

L’analyse des processus a permis de dégager un principe directeur

Il faut garder au niveau de l’établissement les moyens humains ou techniques qui sont essentiellement utilisés localement. La territorialité étant responsabilisante, un rapprochement Infrapôle & InfraLog peut être envisagé. Pour les autres moyens industriels qui sont habituellement utilisés sur plusieurs territoires, il faut se questionner sur leur positionnement afin d’optimiser leur utilisation (planification, pilotage, coûts de structure, gestion des compétences, etc.). La réflexion n’est pas pareillement aboutie pour tous les métiers, notamment pour ceux dont on pressent des évolutions fortes (télécom et informatique).

Une vision partagée avec les zones de production

Cela se traduira en proposition d’organisation en prenant en compte la consistance de leur réseau, la configuration, l’état et la charge de travaux à réaliser dans les années prochaines. La réponse ne sera pas la même en zone diffuse et en zone dense. Il y a des endroits où la conjonction Infrapôle & Infralog fonctionne très bien et d’autres où la fusion d’établissements peut aussi être pertinente. La réflexion de logique industrielle est à construire territorialement.

Il n’y a pas un planning unique pour tous

Chaque zone a son rythme. En cas de lancement de projet, les organisations syndicales et les instances représentatives du personnel devront être associées en amont afin d’échanger sur les contours du projet et de sa mise en œuvre. Les processus d’information ou consultation des IRP seront suivis. λ

Ce que la CFDT revendique

La CFDT a dénoncé des réorganisations inefficaces, telles que le regroupement des Infralog Pays de la Loire et Bretagne, le même schéma multiterritorial étant adopté pour les Infrapoles sur cette région.

  • La réorganisation ne peut pas avoir lieu sans certaines conditions
  • Pas de mobilité forcée pour les agents.
  • Le repositionnement de l’encadrement doit se faire au profit de la production.
  • La formation des agents ILOG dans leur métier de mainteneur de l’Infra doit être complétée pour renforcer les équipes des UP Maintenance. L’externalisation des métiers de sécurité nécessite ce repositionnement.
  • Le positionnement des pôles d’appuis et la prise en compte des problématiques des fonctions transverses.
  • Les parcours ne doivent pas être davantage agrandis et les projets doivent veiller à la  limitation des distances parcourues.
  • Le positionnement de certaines entités et services à l’échelon territorial et non zonal.
  • Le positionnement des entités doit tenir compte d’une part travaux importante (exemple : télécom ou EALE).
  • Le positionnement de certains services, tels que trains dérouleurs, VAS ou câbliers : ils doivent rester au niveau de l’Infrapôle. Cela n’empêche pas d’aller faire des chantiers sur les régions voisines.
  • Maintenir et augmenter l’utilisation du train dérouleur de caténaires : pourquoi ne pas étendre ses missions pour réaliser des RP caténaires actuellement externalisées ?
  • Positionnement des pôles maintenance et regrouper la logique PAM.
  • Meilleure maîtrise de l’externalisation en qualité et rationalisation en quantité.
  • Forte part des transmissions ASTI dans les projets et dérangements CCR : la CFDT rejoint la direction sur la nécessité de faire évoluer des métiers ; nécessité d’une convergence des métiers par les systèmes, notamment dans les CCR.
  • Baisse de charge prévisible dans les ASTI sur la part informatique et téléphonie générale : il faut en tenir compte dans les orientations stratégiques afin d’éviter les effets de balancier dans les réorganisations.
  • Ressources stratégiques à conserver sous management unique à l’infapôle, comme l’utilisation des câbliers dans les travaux : suivi des déroulages et des jonctions (BJ), sujet sensible (isolement), etc.

Les IPOLES LGV devraient être peu impactés par ces projets.

Notre positionnement

La CFDT a rappelé que le projet devrait prendre en compte les problématiques métiers et passerelles entre Infrapôle & Infralog, y compris avec l’Ingénierie en région. Ces différents projets seront déclinés dans les trois directions zonales et la DGOP a rappelé que si certains sujets sont arbitrés nationalement, des différences importantes existent entre les trois directions zonales. Il appartiendra à chaque directeur de zone de définir le cadrage de ce projet. La CFDT sera au rendez-vous pour donner son positionnement sur les différents projets présentés et empêcher, comme en 2013, toute tentative de projet bancal.

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