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Plan de sauvegarde de l’emploi

Ce qu’il faut retenir

La réunion #10 du plan de sauvegarde de l’emploi chez Thello s’est tenue le 10 juin dernier. Après deux mois de réunions, le CSE a donné l’avis favorable sur le plan de transformation de l’entreprise portant sur un PDV / PSE au sein de Thello. Explications.

La CFDT se félicite pour l’accord qui a été conclu avec les autres organisations syndicales signataires et la direction. Les réunions se sont avérées de véritables marathons, mais nous sommes arrivés au but : un accord pour que les salariés soient satisfaits des mesures accordées.

Quelles mesures d’accompagnement à la mobilité interne ? Une indemnité de mutation, une revalorisation des salaires d’agent de bord et une aide à l’installation sur Paris ou Lyon.

Pour la mobilité externe

La CFDT a négocié des mesures d’accompagnement sur les congés de reclassement, notamment la garantie du SMIC pour les petits salaires. Le budget de formation a été revu à la hausse ainsi que celui sur la création d’entreprise. La direction s’est retranchée derrière un manque de budget pour justifier le fait de ne pas satisfaire certaines revendications. Le coût du PSE doit nécessairement être mis en perspective avec les moyens dont dispose le Groupe Trenitalia.

La CFDT regrette que le Groupe n’investisse pas plus sur ses ressources humaines et espérons que cette attitude ne s’oriente pas vers du dumping social.

Maintenant, une page se tourne

Le PDG de Trenitalia l’a dit : « (…) c’est le moment de changer et de créer ». Nous espérons que ces mots seront transformés en faits concrets…

Les salariés ne veulent plus des paroles, mais du concret !

Surtout après nombreuses années de promesses jamais tenues ! La CFDT veillera à la bonne application de ce PSE, y compris à l’avancement de la nouvelle activité dans le respect de la CCN et du Code du travail. La CFDT a toujours été à l’écoute des salariés de Thello et le restera ! Vous pouvez compter sur nous !

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SERVICES MÉDICAUX SNCF

La CFDT obtient une amélioration de la rémunération du personnel contractuel de l’annexe 3

Dans le cadre d’un dialogue social de qualité, la CFDT Cheminots obtient une avancée qui s’inscrit dans la lignée de ce qu’elle a déjà gagné pour les agents. Explications.

Pour rappel

2018

Revalorisation du cursus d’infirmière avec la reconnaissance du diplôme BAC + 3 pour les infirmières statutaires.

2021

Obtention d’une prime Covid spécifique pour le personnel qui a maintenu l’activité des cabinets médicaux pendant la crise sanitaire. Cette fois-ci, la CFDT Cheminots est intervenue pour mettre fin aux problématiques liées à la non-prise en compte de l’ancienneté acquise par le personnel contractuel avant son embauche à la SNCF. Grâce à l’action de la CFDT Cheminots, c’est une hausse de salaire de 10 % qui sera octroyée aux agents embauchés à l’annexe A3, victimes d’une rémunération qui ne prenait pas en compte leur ancienneté.

En pratique

Pour le personnel médical en poste depuis trois ans ou plus

À partir du mois de juillet 2021, les agents qui ont déjà obtenu une majoration de salaire du fait de leur qualité de service bénéficieront d’une anticipation d’amélioration salariale, à titre exceptionnel, par une hausse de salaire de 10 %.

Pour le personnel médical en poste depuis moins de trois ans

La situation des agents qui ont déjà obtenu une majoration de salaire du fait de leur qualité de service sera étudiée en décembre 2021 et pourra faire l’objet, ou non, d’une réévaluation.

Une fois de plus, avec la CFDT Cheminots, c’est la concrétisation d’un dialogue social constructif.

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SNCF RÉSEAU

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SNCF RÉSEAU

Réorganisation des Directions techniques

Efficience ou opportunité ?!

Les effectifs contribuent lourdement aux engagements de SNCF Réseau sur le retour à l’équilibre financier pour 2024. À l’enquête Allure 2020, à la question En général, ma charge de travail est…, les cheminots ont répondu : 51 % importante et 19 % trop importante.

Pour la CFDT Cheminots, la stratégie RH quant aux postes à supprimer est un choix d’opportunité – agents partant en retraite ou en mobilité –, sans se soucier de la répartition de la charge de travail sur les agents restants. D’où un impact sur les risques psychosociaux que subissent les agents. De même, la seule indication de volumes de poste pour 2022 et 2023 est anxiogène.

Trois dossiers de réorganisation en cours de mise en œuvre impactent lourdement les effectifs des directions techniques

  • La diminution des fonctions générales administratives (voir ou revoir notre tract du 1er juin sur ce sujet en cliquant ici).
  • La diminution des effectifs à la DGEX.
  • Le programme Efficience DGII.

Focus sur la DGEX

Passage de six directions à cinq

  • Direction capacitaire.
  • Direction standards et métiers.
  • Direction prescription exploitation.
  • Direction digitalisation exploitation.
  • Direction solutions.

Les conséquences d’un tel projet

  • Les agents conserveraient leurs métiers actuels au sein des nouvelles directions, qui fonctionneraient sous quatre axes.
  • 15 postes seraient identifiés pour être supprimés contre quatre postes créés en 2021, puis une dizaine de postes seraient supprimés en 2022 et autant en 2023. La CFDT constate que les postes possiblement supprimés sont en grande partie liés à la mission Robustesse et s’inquiète d’une suppression qui serait plus liée à une opportunité (retraite, mobilité de l’agent, etc.) qu’à une recherche d’efficacité.
  • La mise en œuvre de ce projet est prévue au 1er juillet 2021.

Focus sur la DGII

Les objectifs annoncés du programme Efficience

  • Contribuer aux efforts de performance nécessaires de SNCF Réseau avec productivité sur les effectifs de production et sur les fonctions de support à la production au siège de la DGII et dans les sièges des DZI.
  • Gagner en efficience (coûts / délais).
  • Impulser, réaliser et ancrer une véritable évolution industrielle.
  • Veiller à ce que les collaborateurs de la DGII aient les compétences nécessaires.
  • Obtenir l’adhésion des collaborateurs de la DGII.
  • 12 priorités industrielles ont été définies post groupes de travail.

Les conséquences d’un tel projet

  • 35 postes supprimés en 2021.
  • Pour 2022 et 2023, la productivité sur les effectifs de la DGII – hors Directions techniques qui devrait être traitée ultérieurement – se poursuivrait à hauteur d’au maximum une quinzaine de postes par an pour les postes d’appui à la production (FGP) et d’une trentaine pour les postes de production (P).

Prévision pour 2022

  • FGP : 13 postes I P : 31 postes.

Prévision pour 2023

  • FGP : 12 postes I P : 31 postes.

Pour la CFDT Cheminots

  • Basé sur le principe d’identifier les opportunités de départs naturels qui se présentent en 2021 et prévoir la suppression des postes correspondants, ce projet est anxiogène et relève d’une organisation stratégique peu efficace et incertaine.
  • Basée sur des choix de renoncement en matière de missions à effectuer, cette organisation est un recul qui aura des conséquences sur la qualité et ne s’inscrit pas dans une logique d’expansion pourtant nécessaire à toute évolution industrielle.
  • La CFDT estime intéressante l’idée de recentrer les ressources d’expertise au sein des entités de production, en proximité de leurs collègues de travail, mais restera attentive à la déclinaison d’une telle mesure.
  • Le projet ne pose pas clairement la question des économies sur les achats et commandes externes (ACE). Nous le savons : l’utilisation de prestataires est un très gros poste de dépenses financières, mais aussi de temps.
  • Inscrit dans le projet, le volet compétence est basé uniquement sur le transfert naturel entre séniors et juniors. Les déficits d’effectifs liés au manque d’épanouissement, aux départs vers d’autres entreprises, le manque de moyen temps pour dispenser des formations techniques lié à la charge de travail ne permettent plus cette transmission.

Nous constatons une fois de plus que le plan de relance impose une cible sans que Réseau ne donne de moyens réalistes à ses entités pour l’atteindre de manière efficiente !

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APPEL AU RASSEMBLEMENT

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APPEL AU RASSEMBLEMENT

La CFDT Cheminots exige une revalorisation des salaires

RDV le 14 septembre !

La dénonciation de l’accord de branche sur les classifications et les rémunérations que la CFDT avait signé en 2019 a laissé les cheminots sans protections négociées.

Le risque de vide étant grand, la CFDT Cheminots a poussé et obtenu que l’État intervienne. Problème : l’État prendra un décret qui se base sur une recommandation patronale très inférieure à ce qui avait été négocié. Conclusion : puisqu’il n’y a pas d’accord, le Groupe public unifié SNCF peut imposer les dispositions qui ont été fixées par le décret calqué sur la recommandation patronale. Il s’agit donc d’une concertation et non d’une négociation. La CFDT Cheminots vous explique ce que signifie cette transposition du décret au sein de la SNCF, le contexte, le calendrier (voir l’infographie) et nos revendications qui nous ont déterminés à appeler au rassemblement en septembre.

Les cinq raisons pour nous rassembler à la rentrée

#1 Le volet classification

La loi du 4 août 2014 a mis en place la branche ferroviaire. La classification-rémunération, c’est le cœur du réacteur. La CFDT Cheminots a poussé durant toute la période et a fait évoluer en profondeur le projet initial basé sur le mauvais accord Fret de 2010 que la CFDT avait d’ailleurs dénoncé à l’époque.

Un dispositif de classification a été obtenu, basé sur des emplois répartis au sein de 13 familles professionnelles.

  • Maintenance, ingénierie et travaux.
  • Maintenance matériel roulant et spécialisée.
  • Circulation / exploitation.
  • Production ferroviaire.
  • Conduite / manœuvre du matériel voyageur et fret.
  • Services / relation client / marketing.
  • Pilotage et animation de la sécurité et
    de la qualité.
  • Responsables / management.
  • Sûreté.
  • Fonctions transverses.
  • Gestion foncière et immobilière.
  • Système d’information et digital.
  • Médical / social.

Une satisfaction pour la CFDT

Dans le cadre des concertations qui se sont ouvertes au niveau de la SNCF, la CFDT a défendu le fait que le référentiel des 493 emplois repères existants à la SNCF devait être maintenu et que ceux-ci devaient être intégrés au sein des 144 emplois types issus de la recommandation patronale de l’UTP.

Notre priorité

C’est les parcours professionnels, la défense et le développement des compétences. Il faut préserver et redynamiser les parcours professionnels en organisant des parcours métiers à l’intérieur de chaque famille professionnelle et de chaque société, mais également vers d’autres familles et vers les autres sociétés.

#2 Le volet rémunération

Personnel statutaire

La CFDT dénonce depuis plusieurs années, dans le cadre des exercices de notations, les effets néfastes en matière de déroulement de carrière d’une grille statutaire qui n’a pas évolué depuis 1992 : agents bloqués sur la position terminale, perspective de déroulement de carrière insuffisante, niveaux de qualification ne correspondant pas aux compétences acquises par les agents, allongement des carrières du fait des réformes des retraites successives, etc.

La CFDT revendique une refonte de la grille statutaire afin de redynamiser le déroulement de carrière des agents statutaires.

Personnel contractuel

La dénonciation de l’accord a fait perdre aux cheminots l’équivalent de 67 millions de mesures salariales. Pourquoi ? Car de nombreuses mesures que comportait l’accord ont disparu.

Au champ d’honneur des droits perdus : la création d’une prime d’ancienneté

La CFDT avait obtenu que celle-ci soit calculée grâce à un pourcentage du salaire réel et qu’elle s’applique à l’ensemble des salariés, y compris à l’encadrement. La CFDT avait également obtenu un droit majeur avec cette prime, qui prenait en compte l’ancienneté cumulée des salariés dans l’ensemble des entreprises de la branche et pas seulement dans celle où le salarié travaille. Cette mesure donnait l’assurance à l’ensemble des salariés de la branche, y compris aux statutaires en cas de transfert, de conserver leur ancienneté en cas de mobilité choisie ou de transfert de leur contrat de travail vers une autre entreprise. Dans la recommandation patronale, la prime d’ancienneté est bien plus faible et se fait dans des délais plus longs. La CFDT revendique la création d’une prime d’ancienneté applicable à l’ensemble du personnel contractuel, y compris à l’encadrement, calculée sur des délais de séjour et des coefficients de majoration identiques à ceux du chapitre 2 du statut.

#3 La reconnaissance de l’engagement des cheminots durant la crise sanitaire

Depuis le début de la crise sanitaire, l’ensemble des cheminots, en production ou en télétravail imposé, a démontré son engagement en faveur du service public ferroviaire. Les agents ont assuré la production dans des conditions de sécurité sanitaire parfois défaillantes. Ils subissent encore aujourd’hui une dégradation importante de leurs conditions de travail en raison notamment des modifications de commande incessantes en lien avec les évolutions des plans de transport, des conditions d’hébergement et de restauration qui se sont, certes, améliorées grâce aux interventions répétées de la CFDT, mais qui les ont contraints à un isolement dans les chambres durant plusieurs mois. Le professionnalisme et l’engagement des cheminots n’ont pas été reconnus à leur juste valeur par l’entreprise et par l’État. Il est plus que temps que la direction témoigne d’une véritable reconnaissance aux agents.

#4 L’accord salarial 2021 : la politique de la vache maigre n’a que trop duré !

Les négociations annuelles sur les salaires n’ont pas encore été programmées cette année par la direction. Le mauvais vent souffle déjà et l’entreprise risque – comme il était possible de s’y attendre – de se réfugier derrière la crise sanitaire pour justifier une 7e année de disette salariale. Le dernier accord salarial digne de ce nom date de 2014 ! Il est plus que temps d’en finir avec la politique d’austérité et de gel des salaires ! La direction de l’entreprise doit prendre en compte les revendications et les attentes légitimes des cheminotes et des cheminots.

#5 La fidélisation des cheminotes et des cheminots

L’ouverture à la concurrence impose désormais à la direction de fidéliser ses salariés en leur redonnant des perspectives claires et motivantes en matière de déroulement de carrière et de parcours professionnel. Les autres entreprises ferroviaires engagées dans la course aux appels d’offres commencent désormais à sortir du bois avec des propositions alléchantes en matière de salaire. Il est nécessaire que la direction reconnaisse à leur juste valeur les compétences, l’expertise, le professionnalisme des cheminotes et des cheminots ainsi que les contraintes et la pénibilité de certains métiers en accordant une revalorisation générale des salaires !

Save the date
Rassemblement CFDT le mardi 14 septembre 2021 devant le siège de la SNCF. Venez porter avec nous ces justes revendications !

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CRM SERVICES

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CRM SERVICES

Télétravail

La CFDT signe l’avenant

La CFDT s’engage une nouvelle fois pour le télétravail en signant un avenant de révision pour CRM Services, filiale de SNCF.

Cette pandémie a montré que le télétravail était une nécessité et un mode d’organisation du travail indispensable en perpétuelle évolution. C’est pourquoi la CFDT a participé aux négociations d’un nouvel avenant pour la société CRM Services. Cet avenant s’inscrit dans la continuité de l’accord relatif à la mise en place du télétravail signé le 28 mars 2018 et porte révision d’une partie de l’accord. Cette révision fait suite à l’information consultation réalisée le 12 février 2021 sur l’évolution des modes de travail et l’organisation du travail en présentiel et distanciel ainsi que sur l’aménagement des locaux de CRM Services CNIT, à laquelle les membres du CSE ont émis un avis favorable à l’unanimité.

À partir de quand les salariés pourront-ils bénéficier de cet avenant ?

Application de l’accord

Cet accord s’applique à compter du lendemain de sa date de dépôt auprès de la DREETS géographiquement compétente (ex-Direccte) et prendra effet le 1er juillet 2021.

Qu’est-ce qui change pour les salariés désirant faire du télétravail ?

La durée

Les salariés pourront maintenant avoir jusqu’à deux jours de télétravail par semaine. Ces journées sont déterminées d’un commun accord avec le hiérarchique et peuvent être modifiées, moyennant un préavis écrit d’au moins dix jours. Elles peuvent être modifiées en fonction des impératifs du service, moyennant un préavis écrit d’au moins cinq jours calendaires dans les conditions convenues avec le responsable hiérarchique.

Pour qui ?

Tous les collaborateurs de CRM Services, au collège cadre ou maîtrise, à temps plein ou partiel (alternants, stagiaires, contrats aidés ne sont pas éligibles).

Formalisation du télétravail

Lors de la signature de son avenant, le salarié pourra déclarer deux adresses pour son lieu de télétravail. Il lui sera ainsi possible de travailler dans un autre lieu que sa résidence principale (après avoir bien rempli les conditions d’assurance prévues à l’article 6.2 de l’avenant).

Mise en place d’un Kit Mobilité équipement informatique

Ce kit est modulable en fonction des besoins du télétravailleur et équivaut à une dotation de 150 € par agent (écrans, casques sans fil, pieuvre et pack clavier / souris sans fil).

Participation ponctuelle

Remboursement des frais engagés par le salarié pour la création de son espace télétravail (bureau, fauteuil, etc.) sur présentation de justificatifs d’achat dans la limite d’une somme globale de 100 €.

Participation mensuelle

Participation forfaitaire aux frais de 15 € nets.

Une question ? Contactez-nous !

juridique@cfdtcheminots.org
contact@cfdt-siege-voyages.fr

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