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Crise sanitaire, production, télétravail

La CFDT agit pour les conditions de travail

Depuis le 4 février, le gouvernement a mis en place de nouvelles mesures sanitaires (maintien d’un couvre-feu à 18h00, télétravail à 100 % pour les salariés pouvant effectuer l’ensemble de leurs tâches de travail à distance, prolongement de la fermeture des lieux de restauration, etc.).

La CFDT pose une DCI

  1. Pour obtenir l’amélioration des conditions de restauration et de coupure pour tous les agents en production de Réseau, de Voyageurs, de la SA de tête, de Fret et de G&C.
  2. Pour obtenir les justes compensations pour les agents en télétravail subi.
  3. Pour obtenir la mise en place de moyens de protection sanitaire renforcés.

Renforcement des mesures sanitaires

Le gouvernement a également fait évoluer le protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise le 29 janvier dernier. Cette actualisation prévoit plusieurs évolutions importantes portant sur :

  • la distanciation entre les personnes ;
  • le type de masque ;
  • les conditions de restauration ;
  • le renforcement des mesures d’hygiène dans les locaux.

Une situation longue et pesante

L’ensemble de ces mesures et le contexte pesant et anxiogène d’une crise sanitaire qui s’est enracinée dans la durée génèrent de l’angoisse et un mal-être important pour de nombreux agents du Groupe public SNCF. Les agents en production font face depuis bientôt un an à une détérioration importante de leurs conditions de travail et sont confrontés à des difficultés quotidiennes en lien avec l’hébergement et la restauration. Ils sont également victimes d’isolement. Pour autant, l’obligation de production s’impose et repose sur l’engagement sans faille des salariés. Il n’est pas compréhensible que le Groupe public SNCF ne bénéficie pas de dérogations similaires aux secteurs d’activités précités.

Des dérogations ont été accordées à des secteurs d’activité proches du ferroviaire. La CFDT revendique leur application pour les cheminots !

En novembre 2020, sous la pression de la CFDT Route, le gouvernement annonçait l’ouverture de 250 restaurants routiers sur le territoire national. Puis, des mesures similaires ont été prises, à juste titre, pour les salariés du BTP. Sous réserve du respect des protocoles sanitaires, de désinfection et de distanciation, les salariés peuvent accéder à une solution de restauration.

Télétravail en temps de crise

La situation l’impose, mais la CFDT revendique les justes compensations. Les agents en télétravail, intégralement ou plusieurs jours par semaine, peuvent rencontrer des difficultés et sont soumis à une incertitude qui pèse lourd. Même si un retour en présentiel est autorisé un jour par semaine pour ceux qui en expriment le besoin, cette unique journée n’est pas suffisante pour endiguer les effets néfastes d’un télétravail subi qui doit parfois être exercé dans des conditions inadéquates et qui a rompu en grande partie le lien social du travail. Aucune mesure n’a été mise en place pour compenser les charges qui s’imposent aux salariés en télétravail et qui, en temps normal, sont supportées par l’employeur. Enfin, l’épuisement psychologique et physiologique inhérent à cette situation de télétravail imposé et hors-norme touche une part de plus en plus importante de salariés. Les mesures issues du nouveau protocole sanitaire réinterrogent celles déjà mises en œuvre et sont source d’inquiétudes pour les agents. De plus, les mesures prévues ne sont pas toujours correctement mises en place.

Les actions concrètes de la CFDT
Auprès du ministre des Transports

La CFDT Cheminots a transmis ce jour un courrier au ministre des Transports demandant la mise en œuvre d’une dérogation pour le secteur ferroviaire autorisant les agents en production (personnel roulant, agents du matériel, personnel en gare, agents de M&T, agents des ABE, etc.) à pouvoir accéder aux restaurants ouverts par arrêté.

Auprès du Groupe public SNCF

La CFDT Cheminots a déposé ce jour une DCI portant sur :

  1. l’obtention d’une dérogation similaire à d’autres secteurs d’activité permettant aux agents assurant la production de pouvoir accéder aux restaurants autorisés à ouvrir par arrêté ;
  2. la réouverture des réfectoires au sein des résidences et maisons Orfea pour le personnel roulant ;
  3. la prise en compte des contraintes et des impacts générés par le recours au télétravail intégral : mise en œuvre d’un plan d’action spécifique en matière de prévention des RPS conformément au GRH 00970, revalorisation immédiate et rétroactive de l’indemnité journalière et de la prime d’équipement prévue par l’accord du 7 juillet 2017 relatif au télétravail et versement à l’intégralité des agents en télétravail, attribution à l’intégralité des agents en télétravail de la part employeur titres-restaurant de 3,50 € par repas ;
  4. les impacts des nouvelles mesures sanitaires sur les jauges et les capacités d’accueil des espaces de travail et collectifs (réfectoires, vestiaires, tisaneries, etc.) ;
  5. l’accès aux locaux de coupure et aux espaces communs
    au personnel en battement (personnel SNCF et entreprises
    sous-traitantes) ;   
  6. la mise en œuvre des recommandations récentes en matière de port du masque FFP2 dans certaines situations de travail (travail impliquant plusieurs agents dans un espace restreint, cabine de conduite, coactivité, etc.).

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Rencontre avec le président de SNCF Réseau

La CFDT agit pour l’avenir des salariés et de la SA

Reçue par Luc Lallemand, président de SNCF Réseau, la CFDT a porté les questions au cœur du quotidien des cheminots et les revendications indispensables à la construction de l’avenir.

#1 L’emploi, les parcours professionnels et les conditions de travail

  • Quelle politique pour l’emploi ? La réduction des effectifs est-elle compatible avec le renforcement de la sécurité et de la sûreté ?
  • Comment le service clients peut-il être amélioré avec la suppression de nombreuses fonctions support et / ou transverses ?
  • La révolution numérique est-elle accompagnée et menée en lien avec les exigences de fiabilité nécessaires ?
  • Comment sortir de la logique infernale de la suppression d’emplois et de la hausse de productivité pour équilibrer la trajectoire économique ?
  • Quels leviers la SA compte-t-elle actionner pour redonner confiance à ses agents dans un contexte permanent d’évolutions et de tensions (Maintenir demain, SIPH, etc.) ?

#2 La trajectoire économique et l’avenir de la SA Réseau

  • Quelle prise en compte des conséquences de la crise sanitaire ?
  • L’accroissement de la dette y faisant suite, est-il considéré de manière objective ?
  • Son impact sur l’ajustement nécessaire est-il correctement évalué ?
  • Les délais de reprise post-Covid et des conséquences sur le trafic et les péages qui en découlent sont-ils sous-estimés ?
  • Le retour à l’équilibre financier dès 2024 est-il compatible avec les nécessités d’investissements vitaux pour une amélioration de la qualité des prestations et à la satisfaction client ?
  • Où en est-on du contrat posé par la loi de 2018 par l’État à SNCF Réseau ?
  • Quelle stratégie pour l’ouverture à la concurrence à Réseau dans le cadre de la loi d’orientation des mobilités ? Pourquoi la SA Réseau n’a-t-elle pas répondu à l’appel d’offres sur Grand Est ?

#3 Le cadre social et les droits des cheminotes & cheminots de Réseau

  • Quel contrat social et quelle application pour tous les salariés de SNCF Réseau ?
  • Quelle transposition de l’accord sur les classifications et les rémunérations dans les métiers de la SA Réseau ?
  • Quelles orientations définies pour Gares & Connexions et quel lien entre SNCF Réseau et SNCF Gares & Connexions (qualité des parcours professionnels, synergie entre Réseau et Gares & Connexions, articulation du dialogue social, etc.) ?
  • La nécessité d’une meilleure application des textes réglementaires de la part de l’entreprise (GRH 00910, GRH 00131 et GRH 00001).

Les réponses de la direction se voudraient rassurantes…

  • Alors que la crise n’est pas terminée et que les pertes globales ne sont pas encore connues, Réseau a enregistré pour le moment une perte de 1,7 milliard d’euros due à des impacts directs (péages, achats, chantiers, etc.) et indirects (fonds de concours, notamment TGV).
  • 1,7 milliard d’euros totalement compensés par l’État dans le cadre du plan de relance.
  • Pour la direction, Réseau est l’entité qui a pu maintenir son plus haut niveau d’activité.
  • Le plan de relance engage l’État et en retour, la direction considère que les efforts de productivité sont logiques.

« Pour autant, il n’y aura pas de plan social. C’est un engagement qui sera respecté à la SA Réseau ». 

  • L’absence de réponse de Réseau à l’appel d’offres lancé par le Grand Est rentre dans une stratégie dont l’objectif est d’être plus forte lors des prochains appels d’offres et de défendre au mieux les intérêts des cheminots de la SA Réseau. Prière d’y croire !
  • La direction porte une forte volonté de transparence avec un objectif de « désilotage des métiers entre eux ».
  • La transposition de l’accord sur les classifications et les rémunérations nécessitera aussi de se poser la question des examens intégrés actuellement dans le dictionnaire des filières.
  • Le télétravail s’est imposé dans la crise, il faudra trouver une plus juste mesure.

Pour la CFDT, la réalité est différente de ce que dit la direction

#1 Les parcours professionnels ne peuvent pas être clairs pour les agents, tant les incertitudes sont nombreuses. Les passerelles, quand elles existent, ressemblent plus à des corridors étroits et sinueux. Les évolutions numériques ne sont pas toujours adaptées et encore moins fluides, fruits d’externalisations malheureuses qui n’intègrent pas les besoins des utilisateurs futurs, tant dans l’ergonomie que dans l’utilisation.

#2 Une vraie GPEC doit être mise en place et des dispositifs novateurs tels qu’un congé de départ anticipé peuvent être proposés aux agents des filières concernées par les objectifs de productivité. Néanmoins, la transmission des compétences est primordiale et la formation ne doit souffrir d’aucune concession.

#3 L’absence de postulat de Réseau sur certains appels d’offres, même s’il s’avérait stratégique, n’envoie pas un signal de volonté d’investissement et de revendication de notre savoir-faire. La CFDT revendique également une clause sociale dans chacun des appels d’offres afin de limiter le dumping social, inévitable depuis la dénonciation de l’accord sur les classifications et les rémunérations par les organisations syndicales contestataires.

#4 L’absence de synergie entre Réseau et sa filiale Gares & Connexions est flagrante sur l’appel d’offres Grand Est. Aucune mention n’est faite des conséquences éventuelles sur les emplois à Gares & Connexions qui pourraient découler de la décision de Réseau.

#5 Les conditions de travail des agents doivent être améliorées. La crise sanitaire les rend plus difficiles encore. Il faut des actions concrètes, fortes et justes pour les cheminotes et les cheminots qui font la production.

#6 Le télétravail doit être réinterrogé. Il faut des compensations plus importantes pour les agents qui y sont soumis. Il faut des protections et un véritable droit à la déconnexion. La relation managériale doit être repensée.

Toutes les richesses d’une entreprise n’apparaissent pas dans son bilan. La SA Réseau doit reconnaître que sa plus grande ressource réside dans le savoir-faire de ses salarié·e·s.

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CFDT Cheminots : priorité au cœur de métier !

La direction a entendu les propositions de la CFDT Cheminots, mais elle a trop négligé les métiers à forte valeur ajoutée au profit de la végétation. En chiffres.

L’annonce de réinternalisation de 500 équivalents temps plein par le président Farandou a fait l’objet d’un processus de bilatérales avec les organisations syndicales représentatives de la SA SNCF Réseau conclue d’une table ronde au 25 janvier dernier. Certains trouveront que le chiffre de 500 agents sur trois ans est insuffisant. La CFDT Cheminots préfère y voir le signe d’une prise de conscience de la part de l’entreprise.

Une interrogation fort légitime

L’externalisation est-elle efficace pour le ferroviaire ? Pour la CFDT, la réponse est non ! La CFDT a été force de proposition en ayant à cœur d’observer trois principes essentiels.

La CFDT a été entendue sur trois points

#1 Préserver les gestes métiers essentiels à la production et au maintien du savoir-faire

  • Les métiers techniques HMT SE, vérifications techniques, essais, voie et caténaires.
  • Partiellement pour les hotlines informatiques, ce qui est encore plus prégnant à l’aube du projet Maintenir demain.
  • La maintenance GSMR : confiée aujourd’hui à Synérail, elle ne fonctionne pas, alors que c’est cœur de métier et même stratégique pour la liaison sol-bord. Ce dossier est à l’étude.
  • La réinternalisation à Infra Industrie : certains EIV avaient été oubliés. La CFDT a obtenu la réinternalisation de pièces symbolisées (éclisses) et de pédales Forfex à Saint-Dizier, la consolidation de l’électronique analogique aux Laumes par la création d’une école d’excellence et la réinternalisation de la métrologie.

#2 Faire des choix

  • Sur quoi ? Sur ce qui ne marche pas ou mal et ce qui coûte cher à la SA Réseau (sous-traitance élevée, reprise de chantiers, restitutions tardives, etc.) ou génère un risque fort en matière de sécurité des circulations ou du personnel.

#3 Innover certains emplois dans la continuité de la transposition de l’accord de branche sur les classifications & les rémunérations

  • Par exemple, la création d’un métier de la sécurité ferroviaire, un métier qui permettrait à un agent de prendre clés en main la totalité des prestations sécurité plutôt que de confier ces prestations parfois à cinq entreprises différentes, multipliant ainsi les interfaces, les risques et les coûts et permettrait des aménagements de fin de carrière. La CFDT regrette que le traitement de la végétation – 125 postes – ait pris le dessus sur les études techniques.

La CFDT avait également demandé un retour d’expérience. Elle a été entendue. Un comité de suivi sera mis en place.

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Maintenir demain commence aujourd’hui !

La Direction de la transformation de la SA Réseau a choisi la concertation spécifique de projets pour conduire le volet social du projet de réorganisation des unités de maintenance intitulé Maintenir demain.

La future UP pilote les chantiers les plus consommateurs de ressources capacitaires – voie & caténaire – et SEG / SM pour la meilleure synergie entre activités : UP multimétiers (génie électrique + génie civil). Le N+1 des agents de production est dans l’équipe (chef en orange).

La première CSP
Les questions & les remarques de la CFDT
Pourquoi nous réinventer ?

La CFDT Cheminots n’est jamais dans une opposition de principe à une évolution et remise en cause de notre organisation et de nos structures. Si nous n’avons pas a priori de réticence au changement, il nous semble nécessaire que celui-ci soit profitable, efficace et utile.

#1 Une fusion de deux collectifs à la technicité totalement différente : quelles compétences du manager N+1 et comment superviser tous les métiers ?

#2 Puisque la direction part d’un constat de manque de culture sécurité au sein de ses équipes, pourquoi n’agit-elle pas sur la formation et un accompagnement ?

#3 Pour la direction, l’organisation actuelle héritée de la mise en place des EVEN devenus Infrapôles serait obsolète. Pour la CFDT, les futures sont la copie conforme des EVEN, les effectifs en moins.

Quelle est la vision métiers pour ce projet ?

Pour la CFDT, la priorité, c’est le traitement de la transposition de l’accord de branche sur les classifications et les rémunérations et le chantier nouveau contrat social (nouveaux contractuels). Ne nous trompons-nous pas d’objectif prioritaire ?!

#1 L’élément déclencheur d’un tel projet serait la digitalisation, la recherche d’un dispositif plus responsabilisant et plus industriel. La recherche d’une meilleure synergie entre les métiers de la voie et de la caténaire serait également recherchée.

#2 Le projet Maintenir demain ressemble à s’y méprendre au projet de création des directions de ligne de la SA Voyageurs développé par les standards de la DG TER. La vision des N+1 à la tête des équipes terrain ressemble singulièrement à la mise en place des petits collectifs impulsée par Transilien de cette même SA Voyageurs. Il convient dès lors de se poser la bonne question : ces évolutions ont-elles fait grandir ces entités ? Pour la CFDT Cheminots, la réponse est non !

#3 Comment l’articulation nécessaire avec les EIC peut-elle se faire selon un schéma qui dissocie la sécurité de l’organisation ?

Quels sont les objectifs de productivité d’un tel projet ?

#1 Deux ans après la mise en place du projet Nouvel R, les difficultés de programmation existent toujours.

#2 Le numérique doit tout révolutionner et nous simplifier la tâche. Ce discours récurent de la direction est rarement vérifié sur le terrain.

#3 La CFDT demande d’abord un REX sur les unités mixtes et sur nouvel R.

La CFDT s’inquiète sur le sujet des parcours professionnels

Ce projet nécessite une bivalence. Qu’en est-il aussi de la gestion prévisionnelle des emplois et compétences et son impact sur ce projet ?

#1 Comment mettre en œuvre des parcours professionnels dans ces conditions ?

#2 Quel est le calendrier ?

Les réponses de la direction

  • Le projet comprend dans chaque unité une équipe patrimoine sécurité, une équipe ordonnancement organisation et des équipes voie, SEG, SM et caténaires.
  • Une méthode de sécurité commune MSC nationale qui orientera les choix locaux à 99 %. 
  • Il y aura vraisemblablement quelques spécificités pour les établissements LGV.
  • Les ASTI EALE ne sont pas concernés.
  • Seules les UP maintenance sont concernées.
  • Interfaces principales du projet Maintenir demain : SI, GMAO, surveillance, supervision, SI travaux, schéma directeur des engins, ballastage bourrage, rail, sécurité avec démarche MPC et réinternalisation.
  • La coopération EIC et la planification sont des processus clés.
  • 20 groupes de travail.
  • Par ailleurs, des consultants sociologues avec un appel d’offres en cours.
  • Le projet a commencé début 2020. En 2021, six établissements pilotes ont été choisis. Début 2022, les six établissements débuteront officiellement. Puis 11 autres en 2023 et les 11 derniers début 2024.
  • Pas de volonté de tout regrouper sur un seul site.
  • Les pôles d’appui ne seront pas ou bien peu impactés.
  • Il y aura de la productivité, mais pas dans les équipes.
  • Pas besoin d’attendre les suites de l’accord sur les classifications et les rémunérations, cela fera des données d’entrée.
  • La supervision donne les infos, mais ne touchera à rien, cela reste dans le giron du DU.
  • Le numérique est laborieux, on le sait, les agents y travaillent.
  • On va travailler sur les points soulevés et on fera le reste en bilatérale.
  • La prochaine CSP aura lieu le 2 mars.

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