G&C || Déménagement

G&C || Déménagement

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

G&C || Déménagement

Déménagement du siège snCF Gares & Connexions et de la DexgiF à Pantin SNCF Gares & Connexions doit innover pour donner lenvie davoir envie daller à Pantin !

Avant fin octobre 2026, les sièges de SNCF Gares & Connexions, et de ses deux filiales AREP et Retail & Connexions, ainsi que la Direction Exécutive des Gares d’Île de France seront aux Grandes Serres de Pantin.

Ce projet impacte directement plus de 1600 salariés dont 750 collègues de SNCF Gares & Connexions. Les nouveaux locaux en construction seront répartis sur 3 bâtiments pour une superficie totale d’environ 14 500 m². 

A partir d’une page blanche, il a fallu tout construire : environnementalement, socialement, humainement, dans un cadre financier restreint et un planning contraint (par la fin du bail de Panhard). 

La CFDT Cheminots, n’est pas opposée à ce déménagement qui est une décision d’entreprise, mais nous serons vigilants sur le bien-être de nos collègues en défendant les intérêts de tous. Nous voulons des réponses concrètes pour que les salariés de Gares & Connexions aient envie d’aller à Pantin. 

LA CFDT CHEMINOTS A OBTENU L’ÉCOUTE DE LA DIRECTION GARES & CONNEXIONS : 

  • Sur la durée du trajet domicile-travail, une étude  spécifique pour ceux habitants à plus de 100 km  pour mesurer l’impact actuel de ce déménagement. 
  • Sur les conditions de travail, l’amélioration de  l’équilibre vie pro-perso, des aménagements  spécifiques pour les RQTH, l’étude des indemnités  de garde d’enfants, des salles adaptées de repos  et d’allaitement, des écrans incurvés notamment  pour les métiers les plus concernés pour cette facilité de lecture. 
  • Sur la lutte contre la sédentarité, la mise en place de bureaux élévatiques, des salles de réunion sans table, l’évaluation des espaces plateaux-tests, le  réemploi des bureaux et casiers dans le cadre de notre politique RSE.. 

LA CFDT CHEMINOTS EXIGE TOUJOURS : 

  • La possibilité d’avoir un 3e jour de télétravail 
  • Une restauration variée et abordable avec le titre restaurant 
  • Plus de moyens pour favoriser la pratique sportive sur site : création de douches et de vestiaires supplémentaires. 
  • Plus de moyens pour les mobilités douces : plus d’emplacements vélos sur le site et aux alentours, et promouvoir le Vélib’ avec la création d’une station à proximité. 
  • Une solution d’hébergement hôtelier par nuitée à tarif négocié et abordable. 
  • La co-construction d’un questionnaire avec l’ensemble des partenaires sociaux sur l’impact du déménagement à Pantin, sur la vie personnelle et professionnelle de nos collègues. 

Nous ne pouvons-nous contenter du minimum proposé par les textes réglementaires. 

 POUR LA CFDT CHEMINOTS, CHAQUE CHANGEMENT DOIT ÊTRE UN ACCÉLÉRATEUR DE PROGRÈS SOCIAL NOUS RESTONS TOUJOURS À VOTRE ÉCOUTE !

Ahmed KHELIFA 

Elu titulaire CSE 

Gares & Connexions 

Tél : 06 12 30 15 40 

ahmed.khelifa@sncf.fr 

 

 Valéry VUONG 

Délégué Syndical CFDT 

Gares & Connexions 

Tél : 06 63 94 60 55 

valery.vuong@sncf.fr 

 

 Eric CHOLLET 

Délégué Syndical CFDT 

Gares & Connexions 

Tél : 06 73 93 67 22 

eric.chollet@sncf.fr 

NOS AUTRES TRACTS

CFDT Optim’ Services

CFDT Optim’ Services

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

CFDT Optim’ Services

Temps Partiel et OPTimUM, rien ne va plus OU TOUT est mal expliqué

Interpellé à plusieurs reprises par des collègues des cabinets médicaux sur l’application du temps partiel avec l’arrivée d’OPTIMUM au premier juillet 2025, la CFDT Cheminots a déposé une demande d’audience à la direction d’Optim’services.

OBJECTIF :

  • Obtenir des explications concernant les différentes réunions d’équipes qui se sont tenues au mois de juin dans les cabinets médicaux sur entre autres sujets, l’arrivée d’Optimum et son fonctionnement sur les temps pleins et temps partiels avec un sentiment d’iniquité d’une région à une autre.
  • Le temps partiel à Optim’services et les règles d’applicables en fonction des services et métiers.

RÉPONSE DE LA DIRECTION :

  • SNCF Optim’services (hors médecins, forfait en jours réduit et heures individualisées) applique la réglementation en vigueur « GRH00662 – Annexe 1 : TRAVAIL A TEMPS PARTIEL ; point 3.6 – Dépassements de la durée du travail
  • En cas de dépassements programmés comme les déplacements par exemple, la rémunération des heures complémentaires est annualisée.
  • Lorsqu’il s’agit d’un dépassement inopiné, le salarié aura le choix de la récupération ou du paiement (choix dans Optimum). Lesdites heures alimentent un compteur dénommé « TK » visible par le manager et le GU dans le mois en cours. A la fin du mois, si le salarié a fait le choix de la compensation, les heures seront automatiquement placées dans un compteur dénommé « TC » à disposition du salarié. Le compteur TC est limité à 32h. Au-delà de ce volume, elles sont automatiquement payées. Il n’y a pas d’obligation de poser une journée complète pour récupérer ces heures.
  • Un SharePoint Optimum où de nombreux modes opératoires et tuto (y compris vidéos) sont à destination des salariés
  • Une communication sera renvoyée aux managers concernés.

NOS AUTRES TRACTS

 Résonances info 

 Résonances info 

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

 Résonances info 

La CFDT Cheminots continue à vous informer du projet phare de la SA réseau, et de porter auprès de la direction vos inquiétudes, vos questions et vos problèmes. 

SUR LES GENS QUI RESTENT À ACCOMPAGNER, IL EN RESTE 82 QUI NE SONT PAS SUR UN POSTE PÉRENNE. 

  1.  82 personnes en mission 
  2. Postes à pourvoir les gros bassins: 61 sur IDF, 14 sur Tours, 20 sur Lyon. 
  3. Personnes en mission : 3 à Bordeaux, 5 à Marseille, 6 à Lyon, 54 sur IDF, les autres en directions régionales 
  4. Dans cette projection sont intégrées les 8 personnes de «NEN» 
  5. Pas encore de recours aux Agences Territoriales de Mobilité  (ATM) 

 LA CFDT CHEMINOTS A REGRETTÉ : 

  1. Le manque de solidarité au sein du groupe pour accueillir des agents sans postes suite à la réorganisation résonances et regretté l’incapacité de Réseau à imposer cette solidarité. 
  2. La qualité de l’accompagnement «RH 910», manque de formation des N+1, l’accompagnement RH rendu compliqué par manque de ressources au sein de cette filière 
  3. L’absence de déclinaison de l’accord PEDPP , notamment sur les postes en moindre besoin (possibilité de décliner l’accord notamment l’outil CME) 

TOURNÉES TERRAIN POST RÉSONANCE, LES + : 

  1. Le rapprochement des équipes commerciales et capacitaires
  2. La création des DA dans les DGIR pour éclairer le lien entre le long terme et l’opérationnel
  3. Le rapprochement de la DSSR et de la DSOP (DGS/DGCE)
  4. La bonne adhésion au projet et à la démarche d’intelligence collective (majorité des DG)
  5. L’Intégration réussie des collectifs ingénierie dans les Directions Sécurité de DGIR malgré des cultures différentes

TOURNÉES TERRAIN, LES ATTENTES : 

  1. Respecter des attendus de Résonances à long terme
  2. Sécuriser la mise en oeuvre du traitement des émergences notamment dans leurs jalons clés (JV1/JV2)
  3. Clarifier le rôle des directions métiers (la lisibilité)
  4. Indicateurs de réussite du projet et REX en 2026 
  5. Travaux engagés sur la définition de l’animation métier

TRAVAUX D’AMÉLIORATION CONTINUE 

  1. Accompagner les pôles clients et perspectives
  2. Suivi de la mise en oeuvre des processus spécifiques en Occitanie.

Commentaire CFDT: 

Les agents ne contestent pas le bienfondé de la démarche résonances, ils attendent désormais une réelle mise en oeuvre des fondamentaux. Par exemple, la maitrise douvrage unique (et unifiée)MOAUnest pas déclinée avecefficacité et reste très incertaine pour les agents concernés, notamment en ce qui concerne la formation, les parcours pros, la notion junior séniors, la responsabilité juridique. Les postes à couvrir en DGinter régionale et notamment en Direction des Opérations et Direction des Actifs, aspirent des ressources détablissement en production, cela va à lencontre de la décentralisation et risque daffaiblir la production. 

FOCUS SUR ZPNEN : LE TRIBUNAL DE BOBIGNY RENDRA SON JUGEMENT 

LE 4 NOVEMBRE PROCHAIN. 

NOTATIONS 

  • La CFDT cheminots a insisté sur l’inquiétude des agents vis-à-vis de l’exercice de notations et obtenu que les requalifications issues du projet Résonances aient bien lieu au 1er juillet 2025. 

CALENDRIER DES NOTATIONS D’APTITUDE COMPLÉMENTAIRES (NAC)

Remise des propositions Date limite remise réclamations Commissions NAC
ATL 14/10/2025 31/10/2025 05/11/2025
SE 14/10/2025 08/11/2025 13/11/2025
SIÈGE 04/11/2025 20/11/2025 25/11/2025
NEN 15/10/2025 31/10/2025 06/11/2025
DTIN 04/11/2025 20/11/2025 25/11/2025
IDF 26/09/2025 21/11/2025 17/11/2025

NOS AUTRES TRACTS

4ème séance de l’observatoire des rémunérations

4ème séance de l’observatoire des rémunérations

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

4ème séance de l’observatoire des rémunérations

Cette 4ème de séance de l’observatoire a été consacrée au partage d’éléments relatifs à l’environnement économique global, la présentation d’une étude sur les rémunérations et les avantages sociaux en France et un comparatif des rémunérations des principaux métiers de la SNCF par rapport au marché du travail.

La direction a annoncé que les prévisions d’inflation pour 2026 s’établissait à 1,3% et que les marges de manoeuvre pour les prochaines négociations salariales seraient étroites. La CFDT Cheminots a rappelé que la SNCF avait déjà engrangé plus de 900 millions d’euros de bénéfices pour le premier semestre 2025. Considérant cette situation, la CFDT Cheminots rappelle que la Direction doit assurer une juste redistribution de ces excellents résultats au profit des agents !

Au coeur des débats : «le fonds de concours».

Le fonds de concours est un mécanisme créé par la loi Nouveau Pacte ferroviaire. Il prévoyait que 60 % du bénéfice récurrent dégagé par le groupe SNCF (dont SNCF Voyageurs) serait versé à un fonds de concours qui alimenterait le programme 203 « Infrastructures et services de transports » de la mission « Écologie, développement et mobilité durables » du budget général de l’État. En clair, la maintenance, la régénération et le renouvellement du Réseau.

Or, le Groupe Public SNCF, qui a réalisé en 2024 un bénéfice de 1,6 milliards d’euros, a versé 1,7 milliards d’euros au début de l’année 2024 au fonds de concours. Pour 2025, le versement à ce même fonds de concours est prévu de s’établir à 1,5 milliards d’euros ! On est donc loin des 60%… L’Etat va une nouvelle fois siphonner le fruit des efforts des cheminots pour financer les nécessaires investissements de régénération, de modernisation et de sécurisation du réseau. Malgré l’accélération de l’ouverture à la concurrence, la SNCF est le SEUL opérateur à réinjecter ses bénéfices dans le réseau en alimentant le fonds de concours, ce qui n’est pas le cas de nos concurrents. Ce mécanisme imposé par la mauvaise loi de 2018 est proprement injuste car il revient à ce que la SNCF finance l’outil industriel de ses concurrents !

Qua dit et porté la cfdt Cheminots lors de cet observatoire ?

MESURE D’AUGMENTATION GÉNÉRALE

La CFDT Cheminots revendique une mesure d’augmentation générale des salaires avec l’augmentation du point d’indice de la grille statutaire et une revalorisation du salaire de base des agents contractuels.

L’ANNUALISATION DE L’ANCIENNETÉ

La CFDT Cheminots revendique l’annualisation des dispositifs de reconnaissance de l’ancienneté (échelons statutaires et prime d’ancienneté des contractuels) ainsi que la création d’un nouvel échelon d’ancienneté.

DÉROULEMENT DE CARRIÈRE

La CFDT Cheminots revendique l’augmentation du nombre de PR Hors Compte restant à attribuer pour les notations 2026 et 2027. Il s’agit de renforcer les dispositions de l’accord salarial négocié et signé par la CFDT Cheminots. La CFDT Cheminots porte également la création de délais de séjour maximaux pour l’accès aux niveaux.

CONTRACTUELS

Alors que certains revendiquent des grilles uniques «similaires mais différentes», et qui ne peuvent être mises en place au regard des contraintes légales et réglementaires, la CFDT Cheminots fait, elle, le choix de la vérité et du progrés en revendiquant la création d’une grille de rémunération pour les contractuels permettant d’offrir une perspective de déroulement de carrière attractive et valorisante.

PARTAGE DE LA VALEUR

La CFDT Cheminots revendique le versement d’une prime de partage de la valeur avant la fin de l’année 2025, au titre des résultats 2025 de la SNCF et qui sera complétée début 2026 au moment de la publication des résultats. La CFDT Cheminots a également porté la nécessité de mettre en oeuvre la revoyure salariale en 2025 telle que prévue par l’accord négocié et signé par la CFDT.

DES QUESTIONS ?

N’HÉSITEZ PAS À VOUS RAPPROCHER DE VOS ÉLUS CFDT,

ILS SONT LÀ POUR VOUS !

NOS AUTRES TRACTS

Direction du Matériel: Télétravail, la CFDT oeuvre pour une organisation juste

Direction du Matériel: Télétravail, la CFDT oeuvre pour une organisation juste

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

Direction du Matériel: Télétravail, la CFDT oeuvre pour une organisation juste

L’expérience l’a montré : le télétravail n’entame ni l’efficacité ni l’engagement des cheminots. Cette organisation du travail est désormais reconnue et fait ses preuves au quotidien. Cependant, nombreux sont les agents qui alertent aujourd’hui encore la CFDT : la défiance managériale subsiste,et leurs incompréhensions se multiplient face à des décisions inégales.

Depuis 2017, un accord collectif encadre le télétravail dans le Groupe Public Ferroviaire, complété en 2021 par une décision unilatérale de l’entreprise (faute d’avoir obtenu une majorité lors de la validation de l’avenant, signé par la CFDT).

Cet accord repose sur trois principes simples :

Le volontariat du salarié

L’accord mutuel avec le manager

Une mise en œuvre objective et non discriminatoire

Il prévoit aussi que tout refus doit être motivé par écrit. A la Direction du Matériel, force est de constater que l’application de ces principes reste inégale selon les services.

DES ÉCARTS INACCEPTABLES

Alors que l’accord est clair et s’applique à toutes et tous, nous constatons :

Des équipes comparables qui n’ont pas les mêmes droits, certaines demeurant limitées à 2 jours de télétravail

Des refus opposés aux agents sans aucune motivation écrite, en contradiction directe avec l’accord

Des différences d’application d’un site à l’autre, créant un sentiment d’injustice et d’arbitraire.

Le télétravail n’est pas à géométrie variable.

Les cheminots doivent bénéficier de droits équitables, quel que soit leur site, leur métier ou leur manager.

L’ACTION CFDT : CONSTANTE ET DÉTERMINÉE

La CFDT agit sur ce dossier depuis plusieurs années :

Audiences auprès de la Direction des Ressources Humaines du Matériel en juin 2023 et juin 2024 : nous avons mis le sujet sur la table à chaque occasion, pour toutes les entités concernées (BUSP, MAPM, Ingénierie…)

Au CLI : après des années d’interpellations, le passage à 10 jours par mois est enfin amorcé. Une avancée qui démontre que la persévérance syndicale porte ses fruits !

e Lors de la DCI du 14/05/2025 adressée à la direction des Achats du Matériel, la CFDT a souligné que pour une partie des agents « le bornage à 2 jours est davantage une position dogmatique qu’une application de l’accord Télétravail équitable selon le poste de l’agent et son autonomie. » et attend des réponses concrètes.

Lors du CSE Matériel du 24 septembre 2024, la CFDT a interpellé la direction du CIM sur ces refus injustifiés. 

Lors de chaque mise en place de Flex Office, nous avons rappelé que les agents doivent être réinterrogés sur leurs souhaits de télétravail. Cela a été mis en place dans certains sites, mais pas partout.

FLEX OFFICE ET COHÉSION D’ÉQUIPE : PARLONS VRAI !

Beaucoup de managers invoquent la cohésion d’équipe pour limiter le télétravail.

Mais dans la réalité du Flex Office :

des agents se retrouvent isolés dans un bureau, faute de place 

d’autres sont éloignés de leurs collègues

Alors où est la cohésion d’équipe ? Ce n’est pas le télétravail qui isole, mais bien le manque de places.

ET RAPPELONS-LE : L’ACCORD NE REMET PAS EN CAUSE LA FAÇON DONT LE MANAGER ORGANISE SON ÉQUIPE. AU CONTRAIRE, IL CONFIRME QUE LE MANAGER GARDE LA MAIN POUR :

Fixer un ou deux jours de présence obligatoire sur site

Demander la présence de son équipe un jour donné pour un besoin de service

Organiser des réunions en présentiel

Veiller à la cohésion du collectif de travail

LE TÉLÉTRAVAIL EST UN DISPOSITIF COLLECTIF ENCADRÉ, ET SES CRITÈRES DOIVENT RESTER OBJECTIFS ET LIÉS AU MÉTIER, PAS À LA LOCALISATION OU AUX SENSIBILITÉS PERSONNELLES.

UN ATOUT POUR L’AVENIR

Le télétravail est aussi un levier stratégique pour l’entreprise :

Il facilite le recrutement à l’échelle nationale

Il encourage les mobilités internes et les parcours professionnels

Il rend nos métiers plus attractifs pour tous

LES REVENDICATIONS CFDT

Application stricte et homogène de l’accord télétravail

Des refus motivés par écrit, comme le prévoit l’accord

Des critères d’attribution objectifs

Réinterrogation systématique des agents lors des projets Flex Office

Le télétravail est un droit conventionnel. Il améliore la qualité de vie, réduit les trajets, favorise la mobilité et facilite les parcours professionnels.

La CFDT Cheminots continuera à agir pour que ces principes soient appliqués partout, avec cohérence et équité.

LA CFDT PRÔNE LE BON SENS : LE TÉLÉTRAVAIL DOIT ÊTRE UN OUTIL DE PROGRÈS, PAS UNE SOURCE D’INJUSTICE.

NOS AUTRES TRACTS

Restauration SNCF

Restauration SNCF

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

Restauration SNCF

 

 La CFDT a été reçue en audience nationale sur le sujet de la restauration. Au menu, entre cantines fermées pour travaux ou par manque de personnel, réorganisation entraînant la perte des titres restaurant, une situation loin d’être satisfaisante dont les responsabilités sont partagées entre la direction et les organisations syndicales signataires d’un accord CASI qui prévoit pourtant le financement de la restauration. Un modèle à bout de souffle, à revoir si les collègues ne veulent pas continuer à rester sur leur faim. Décryptage CFDT. 

 

 Toute la politique de restauration SNCF doit être revue : financement, attribution, gestion des cantines SNCF. Pour la CFDT, la restauration, c’est pour tous les cheminots sans exception ! 

Chambéry, Nantes, Toulouse, Saint-Lazare, Lyon , etc..: on ne compte plus le mécontentement des collègues au sujet de la restauration. Cantines fermées par manque de personnel, pour travaux, divergence d’appréciation sur l’attribution des titres restaurant, et au final pour les collègues, l’absence de solution de restauration. Entre la direction et les CASI, chacun se renvoie la balle. Mais alors, qui dit vrai dans cette histoire ? 

Aujourd’hui, la restauration est censée être financée par une part de la dotation qui finance les activités sociales. Elle représente 15 % de cette dotation qui doit être fléchée vers les cantines des CASI. Pour rappel, moins de 10 % des cheminots vont à la cantine. Et le reste des cheminots qui ne peuvent pas accéder à la cantine en raison des contraintes de production ? Eh bien, rien du tout ou pas grand-chose… Sauf si vous avez « la chance » d’être à plus de 10 minutes d’une cantine SNCF, vous aurez l’attribution de titres restaurant et encore, à condition de « s’entendre sur la notion de 10 minutes », très souvent sujet à contestation. 

 

 Que fait la CFDT? 

La CFDT, depuis la mise en place de l’accord CASI en 2018, dont elle est aujourd’hui la seule organisation syndicale non signataire, n’a eu de cesse d’agir pour faire bouger les lignes en : 

Obtenant gain de cause sur l’attribution des 

titres restaurant lorsque la situation le 

permettait, en rendant éligibles les collègues, 

Lors des situations de travaux et/ou de fermeture 

des cantines, 

En négociant en 2016 un accord majoritaire 

(signé par 2 OS dont la CFDT) permettant 

l’attribution des titres restaurant à la SNCF. 

Aujourd’hui, cet accord n’est plus appliqué, c’est 

une mesure unilatérale de l’entreprise. 

Pour la CFDT, la direction doit reprendre l’intégralité de la gestion des cantines SNCF et la dotation de 15 %. La direction ne peut pas, d’un côté, déplorer l’absence de conventionnement des CASI pour des solutions de restauration de proximité lorsque la cantine est fermée, et ne pas en tirer les conséquences. Pour les signataires de l’accord CASI, comment peuvent-ils accepter que l’argent de la dotation de la restauration puissent servir à autre chose ? 

Pour la CFDT, il est temps d’ouvrir de véritables négociations avec un accord restauration pour tous. La CFDT y défendra en fonction de chaque situation de travail : 

Une prime de panier, 

L’attribution de titres restaurant, 

Une participation au repas identique de l’entreprise dans toutes les cantines, quelle que soit la société du groupe. 

Dotation restauration signataire de l’accord CASI : toutes les OS sauf CFDT 

( cf: graphique sur le tract en entier)

NOS AUTRES TRACTS