Reconnaissance des agents des technicentres et du matériel

Reconnaissance des agents des technicentres et du matériel

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

Reconnaissance des agents des technicentres et du matériel

La CFDT Cheminots demande une reconnaissance de toutes et tous, quel que soit l’activité (TGV, Intercités, Matériel Industriel, Fret, TER, Transilien) et le collège. 

 

 

 Le climat social se tend dans les Technicentres Matériel. LA CFDT Cheminots est active pour remonter aux directions concernées les attentes de agents et faire évoluer la reconnaissance pour chacun et chacune. Explications. 

La CFDT est consciente que les augmentations de charge, la difficulté à recruter sur les métiers techniques, l’augmentation de travail de nuit, les baisses de pouvoir d’achat, sont autant de nécessités devant faire évoluer la rémunération.

Pour la CFDT, tous les agents doivent être considérés et bénéficier d’évolution de leur rémunération. Quel que soit le métier, la fonction et le grade dans les Technicentres et entités du Matériel, dans les supports à la production au niveau du Matériel, la CFDT agit pour toute et tous. 

Il est inconcevable aujourd’hui d’exercer une rémunération à deux vitesses ! Si les contraintes, réelles, liées aux métiers de la production doivent être prises en compte, il ne faut pas négliger les agents qui ne sont pas en production directe et qui subissent d’autres contraintes liées à la production. 

En ce qui concerne les activités, TGV, Intercités, Matériel Industriel, Fret, TER, Transilien, de la même manière, pour la CFDT Cheminots, il ne peut y avoir les agents du Matériel bien rémunérés car dans l’activité la plus prospère, et les autres qui attendent en vain une amélioration de leur quotidien. 

Pour la CFDT Cheminots, au-delà de l’injustice que cela représente, ce principe posera à très court terme de réels problèmes de parcours professionnels, de mobilités, d’attractivité de certains sites de maintenance ou spécialités. 

Soucieuse de préserver le caractère indissociable et solidaire du périmètre ferroviaire unifié, la CFDT Cheminots continuera à exiger des mesures justes et équitables pour chacun et chacune. 

Au-delà des questions de pouvoir d’achat et de rémunération, la CFDT Cheminots s’inscrit avec énergie dans la démarche de Groupe de travail sur des conditions d’exercices des métiers du Matériel. La question de l’usure au travail, la pénibilité, la prévention, l’aménagement des postes de fin de carrière sont également des questions capitales pour lesquelles la CFDT cheminots sera force de proposition afin d’améliorer le quotidien de chaque poste de travail au Matériel.

NOS AUTRES TRACTS

Maintenir Demain, retour sur l’enquête exclusive de la CFDT Cheminots

Maintenir Demain, retour sur l’enquête exclusive de la CFDT Cheminots

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

Maintenir Demain, retour sur l’enquête exclusive de la CFDT Cheminots

 

 Plusieurs centaines d’agents concernés ont répondu à l’enquête envoyée par la CFDT cheminots aux agents des Infrapôles. Les résultats de cette enquête laissent apparaître une grande source d’inquiétude et de découragement parmi les agents concernés. 

Ce questionnaire s’est attaché à différencier les agents des vagues 1 et 2 (les établissements passés en mode « Maintenir Demain » en 2022 et 2023, et ceux de la vague 3 dont la mise en oeuvre est prévue au 1er janvier 2024. Passage en revue des résultats.

 

ANALYSE CFDT:

Le questionnaire confirme que le mode « Maintenir Demain » n’est pas digéré par les agents qui ont subi cette réorganisation. Pour les agents, Maintenir Demain devait être générateur de mieux vivre au travail, et par ricochet d’une meilleure production, en efficacité et en sécurité. 

Maintenir Demain devait favoriser une sérénité dans la tenue des postes, dans des locaux agréables, avec des espaces de travail correctement dimensionnés et fonctionnels. La charge de production maintenance et travaux devait être préparée et réalisée dans des conditions optimales avec des effectifs suffisants.

 

Au lieu de tout ça, le constat a un goût amer et de nombreuses Unités Territoriales Mixtes (UTM) sont sous tension :

􀏛 Tension sur les femmes et les hommes qui sont sur-sollicités, beaucoup commencent à se poser des questions sur leur avenir à la SNCF,

􀏛 Tension sur la production, on manque cruellement d’agents utilisables dans les équipes pour garantir une production robuste en programmation, en qualité et en sécurité. Cette tension est accentuée par des objectifs de recrutement en deçà des besoins,

􀏛 Tension sur les roulements d’astreinte, il faut parfois mutualiser les astreintes entre UTM,

􀏛 Tension sur la charge de travail, les encadrants ont vu la nature de leurs missions évoluer et leur nombre augmenter,

􀏛 Tension sur des postes qui sont tenus parfois par des collègues inexpérimentés, certains étant même en formation ATT CAD ou ATT TS. La mise en oeuvre du nouveau cursus jeune cadre va accentuer ce phénomène,

􀏛 Tension sur les objectifs qui sont parfois inatteignables tant certaines UTM ont été sous-dimensionnées, 

Cette situation de tension, tant dans les effectifs que pour les agents, ces alertes lancées par des agents qui n’ont pas pour habitude de se plaindre, ne doivent pas rester sans réponse de la part de l’entreprise.

La CFDT cheminots l’a exprimé en comité de suivi maintenir demain le 7 juin dernier.

Pour la CFDT Cheminots, la réduction de personnel n’est pas justifiée, (5% de l’encadrement des unités) alors même que les projections de charge sont à la hausse et que la nouvelle organisation ne démontre toujours pas son efficacité.

Enfin les premiers audits réalisés dans les établissements tête de file du programme Maintenir Demain sur la base de remontées terrain informelles issues de ces établissements, semblent complaisants et ne remettent pas suffisamment en question la sécurité vis à vis des difficultés résultant de la nouvelle organisation. La CFDT demande donc des audits impartiaux, reposant à la fois sur l’analyse de la situation en termes d’efficience de la production et de suivi de la sécurité des circulations et des personnes, ce dernier facteur intégrant nécessairement les risques psycho sociaux, donc un audit intégrant un volet production, un volet sécurité et un volet RPS.

Devra-t-on connaitre un nouveau Brétigny pour que les bonnes questions soient enfin posées ? »

Par ailleurs, la disparition du regard croisé DPx/TO/TA/Agents qui existait auparavant et qui savaient, quoi qu’on en ait dit, associer les différentes spécialités que sont la Voie, la Caténaire, SE, SM, Télécoms, mais aussi les services Circulation et Voyageurs.Ceci met à mal la robustesse de nos process.

La SNCF, et Réseau certainement plus que n’importe quelle autre SA s’appuie sur une transmission orale considérable, mise à mal par le silotage des fonctions voulue par la structure du programme Maintenir Demain.

SUR LE SUJET PRODUCTION :

Nous constatons chaque jour la défaillance des établissements à réaliser la production et ce constat est accentué comme nous l’avons dit précédemment dans les établissements déjà organisés maintenir demain. 

Du côté de la production de terrain, des questions se posent sur la capacité des équipes à pouvoir réaliser l’ensemble des tâches et chantiers. En effet, les effectifs disponibles sont depuis des années maintenant bien en deçà des cadres d’organisation. Pour assurer le travail, nos collègues se voient régulièrement refuser des congés et autres repos compensateurs.

Avec les futurs plans de charge consécutifs aux annonces d’augmentation du budget de SNCF Réseau, la CFDT cheminots s’inquiète du risque fort de manque de main d’oeuvre. Les conséquences seront multiples, dans le meilleur des cas, report des chantiers, dans le pire des cas épuisement des équipes pour boucler les projets avec une explosion des compteurs agents et des risques d’AT ou RPS. Un indicateur est le taux de démissions, dont les causes multiples comprennent le découragement face à ces situations non maitrisées et durables. Le recrutement de nouveaux agents à Réseau est imparfait et les délais de formation toujours trop longs pour une mise en production rapide des nouvelles recrues afin de combler les postes vacants dans les entités et renforcer la production.

Certaines missions ne sont plus ou mal assurées, ce sont souvent ces taches orphelines qui étaient réalisée par les TO, les TA ou les DPX dans les anciennes unités et qui n’ont pas toujours trouvé repreneur dans le modèle maintenir demain.

Pour conclure, il est maintenant capital de tenir compte des observations de l’encadrement ayant assuré la transition Maintenir Demain, maintenant que toutes les équipes ont basculé et que le modèle a atteint ses limites. La CFDT Cheminots demande un nouveau comité de suivi et de réelles actions. 

NOS AUTRES TRACTS

SOLAR, la direction n’a pas tenu ses promesses. La CFDT ne lâche rien.

SOLAR, la direction n’a pas tenu ses promesses. La CFDT ne lâche rien.

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

SOLAR, la direction n’a pas tenu ses promesses. La CFDT ne lâche rien.

Fin Octobre, la CFDT déposait une DCI à la direction de la SA Voyageurs afin de compenser les contraintes vécues par les vendeurs et télévendeurs suite au déploiement de SOLAR. Patiente, la CFDT a attendu que les activités se mettent d’accord entre elles pour enfin octroyer début décembre une majoration de la prime de travail de 20% sur les mois de janvier, février et mars 2024 (équivalence stricte pour les salariés contractuels).

Si un premier pas en matière de reconnaissance a été fait, SOLAR continue de malmener les conditions de travail des agents de la relation clients, les confrontant à un fort risque d’agression, de stress et d’injonctions contradictoires. C’est dans ce contexte anxiogène que la direction n’a pas tenu la totalité de ses engagements !

La CFDT revendique dans les plus brefs délais :

  • La prolongation de la majoration de la prime de travail obtenue par la CFDT au-delà du mois de Mars 2024 et jusqu’à ce que SOLAR soit totalement opérationnel
  • L’éligibilité à la mesure financière aux vendeurs de la filière 27
  • L’éligibilité à la mesure financière aux DPX relation clients au sol
  • Des recrutements pérennes en gares et dans les RCAD
  • La prolongation des contrats des salariés en renfort jusqu’à la fin de la période des Jeux Olympiques et Paralympiques
  • L’augmentation des temps de prise et fin de service pour les vendeurs et télévendeurs
  • L’augmentation du temps de pause
  • L’arrêt des enquêtes clients et des mesures de temps de traitement en gares et dans les RCAD
  • Une étude quant à l’équilibre et à la distribution des charges « Clients Pro et Loisirs » entre les RCAD
  • Une étude QVCT avec évaluation RPS en gares et dans les RCAD
  • Une véritable reconnaissance de la pénibilité depuis le début du déploiement de SOLAR

Confiante, la Direction de la SA Voyageurs par la voix de ses patrons d’activités (TER,IC,TGV, RCAD) avait renvoyé la plupart de nos demandes aux établissements. A date, nous ne pouvons que constater que la bienveillance et la compréhension nécessaires face aux difficultés vécues par les vendeurs et télévendeurs ne trouvent pas écho !

La CFDT Cheminots a d’ores et déjà rappelé la Direction à ses engagements et nous ne lâcherons pas le sujet !

Rapprochez-vous de vos représentants CFDT

NOS AUTRES TRACTS

Comme en dec 2022, la CFDT toujours présente pour les ASCT

Comme en dec 2022, la CFDT toujours présente pour les ASCT

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

Comme en dec 2022, la CFDT toujours présente pour les ASCT

Fin 2022 et après plusieurs mois d’actives négociations, la CFDT, grâce au soutien et à la mobilisation des ASCT, avait apposé sa signature sur l’accord de sortie de conflit. Alors que l’année 2024 débute la CFDT vous décrypte les engagements pris et les négociations à venir.

Engagements de décembre 2022 :

  • Création d’une indemnité spécifique métier bord de 720€ annuelle.
  • Un parcours professionnel réaffirmé (recrutement TGV dans les viviers IC, TER et Transilien, listing spécifique, amélioration du traitement des inaptitudes …)
  • Une évolution de carrière systématique tous les 4 ans.
  • Rattrapage hors compte des ASCT bloqués sur une PR depuis Avril 2019 (ou avant) sur l’exercice de notations 2023. 
  • D’ici 2025 : 60% de classe 4 (Qualif D) à TGV, de 25 à 30% suivant les BU TER, 24% à Transilien et 34% à Intercités.
  • Engagement de deux ASCT sur TGV en conception dès 2023.
  • 200 emplois (dont 40 réservés sureté) en plus des 350 prévus pour 2023.
  • Nomination à la classe 3 de tous les ASCT classe 2 à TGV et Intercités (dès 5 ans sur le grade dont 3 passés chez TGV / IC) 
  • Travail sur la pénibilité et la fin de carrière des ASCT.
  • Création d’un dispositif d’accompagnement au changement volontaire de métier.
  • Travail sur l’intégration d’une partie de la prime de travail dans le traitement. 

Le projet n’est pas finalisé mais une partie de la prime de travail est sécurisée depuis le 1er Janvier et vous bénéficiez de son maintien lors de vos absences pour maladie par exemple.

Augmentation de l’Indemnité de Non Affectation à un Roulement : Son montant au 1er Janvier est passé de 79,22€ à 107,39€ 

 

 La CFDT a passé l’année 2023 à vigiler l’application de ces mesures. Force est de constater que tous les engagements pris ne sont pas mis en oeuvre, c’est pourquoi dès le 30 novembre dernier nous écrivions à la DRH de la SA Voyageurs pour provoquer une Table Ronde avec l’ensemble des Organisations syndicales signataires de l’Accord de sortie du conflit ASCT de décembre 2022. 

 

 À en croire la Direction du Groupe et ses engagements pris lors de la dernière NAO, 2024 est l’année des MÉTIERS ! Plusieurs groupes de travail réuniront les Organisations Syndicales représentatives (Grille salariale, indemnité de résidence, reconnaissance des conditions d’exercice des métiers, encadrement…) 

Cette année nous traiterons également des sujets de fin de carrière, de pénibilité et d’usure professionnelle. La CFDT Cheminots participera activement à toutes ces rencontres et sera force de proposition pour que le métier soit de plus en plus attractif et de mieux en mieux reconnu.

 

LA CFDT EST REVENDICATIVE ET À VOTRE ÉCOUTE, N’HÉSITEZ PAS À ÉCHANGER AVEC VOS REPRÉSENTANTS CFDT !

NOS AUTRES TRACTS

 USURE PROFESSIONELLE À RÉSEAU 

 USURE PROFESSIONELLE À RÉSEAU 

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

 USURE PROFESSIONELLE À RÉSEAU 

 

 La CFDT s’engage pleinement dans les discussions visant à traiter l’usure professionnelle des agents de la SA Réseau. Elle a porté des revendications lors des bilatérales, issues de groupes de travail internes, et porte la nécessité de lutter contre l’usure professionnelle tout au long d’une carrière. La prise en compte de la pénibilité ne suffit pas, les changements doivent être plus ambitieux. 

 TOUS LES MÉTIERS DOIVENT ÊTRE TRAITÉS 

 La CFDT l’affirme : il n’est pas question de se contenter de traiter seulement une partie des métiers , tous sont soumis à des facteurs d’usure professionnelle. 

Maintenance et travaux avec chacun leurs particularités : voie, SE, télécoms, EALE, EIV…

 

La circulation pour lesquels les actions engagées ne sont pas suffisantes

Les directions techniques et territoriales dont les préoccupations sont particulières et trop souvent ignorées

La formation, en campus et en établissement

Les fonctions supports, essentielles à la production

Les personnels d’encadrement qui doivent être considérés avec leurs particularités au sein de réseau

La sphère horaire, de la Direction d’Attribution des Capacités (DAC) aux Bureaux Horaires (BH) et Guichets Opérationnels (GO)

LA CFDT NE SE CONTENTERA PAS D’UN TRAVAIL PARCELLAIRE ET VEILLE À CE QU’AUCUN MÉTIER NE SOIT OUBLIÉ   

DES SOLUTIONS EFFICACES ET NOVATRICES 

La CFDT exige que l’usure professionnelle ne se mesure pas seulement en rapport avec la pénibilité  liée à la nature des métiers exercés.

 

Si la pénibilité est sans aucun doute génératrice d’usure professionnelle, elle n’en est pas la seule responsable.

POUR LA CFDT, LES ACTIONS ENGAGÉES DOIVENT AUSSI PRENDRE EN COMPTE, ENTRE AUTRES :

Le traitement des irritants du quotidien

La qualité de vie au travail et l’ergonomie des postes et outils

La charge de travail et son adéquation avec les postes auxquels elle est attribuée

Le sens au travail doit être redonné 

Le choix des horaires  et régimes de travail doit permettre d’atténuer  les impacts de la pénibilité

Le partage des bonnes pratiques existantes, qui peinent à se généraliser

La valorisation des compétences par des parcours professionnels satisfaisant

L’arrêt  indispensable des réorganisations et des retours d’expérience objectifs sur celles déjà faites

Les effectifs doivent permettre une couverture optimale des postes pour stopper la sur-sollicitation des agents et Dpx, et réduire la charge des gestionnaires d’utilisation

Sur le rythme de travail 

Le travail de nuit et  de week-end a un impact indéniable sur l’usure professionnelle, s’il ne peut pas être évité, il doit donner lieu à de meilleures compensations en temps

 Les horaires décalés, lorsqu’ils sont indispensables, doivent être organisés de façon à avoir le moins d’impact possible sur l’organisme. Des études   scientifiques offrent des possibilités d’atténuation de la pénibilité horaire, la SA réseau doit s’en emparer

La programmation  doit permettre aux agents d’avoir de la visibilité sur leur utilisation

Les astreintes et les sorties qu’elles imposent doivent être mieux compensées en temps

Les adaptations  de régimes de travail (via article 49 ou horaires individualisés) doivent être actées lorsqu’elles répondent à une demande des agents et sont compatibles avec les nécessités de service

Sur le contexte métier   

Le manque d’effectifs doit être pallié en priorité 

La technicité  et les compétences doivent être valorisées 

Le reporting  doit être mesuré et son utilité rationalisée 

Les expositions à la pénibilité sont incessantes et doivent donner droit à des «souffles»

 

Sur l’évolution professionnelle  

Développer des métiers et postes de fin de carrière

Refaire des parcours professionnels et favoriser la mobilité géographique et fonctionnelle

Compenser et limiter les déplacements en formation pour en favoriser l’accès

 

Sur l’environnement digital  

Du matériel et du réseau qui fonctionnent

 Des applications plus conviviales, adaptées et développées en interne en tenant compte des réels besoins

Plus de prise en compte de l’ergonomie des postes en plus de celle des logiciels eux-mêmes

Des formations aux  outils qui permettent à chacun de se les approprier

 

Sur l’organisation du travail 

Mieux réfléchir aux charges de travail et la répartition des tâches, à l’utilité de chacune Adapter les horaires et organisations en fonction des besoins, y compris des agents, et limiter les parcours routiers

Inclure les temps de formations dans les programmation et/ou roulements

Permettre des temps d’échanges entre les agents des différents métiers

Sur l’environnement physique  

Travailler sur la qualité de vie au travail, qui est indispensable pour lutter contre l’usure professionelle.

Travailler sur les EPI, leur confort, leur adaptation en fonction des températures extérieures (dotation en vestes chauffantes, mise au contrat cadre de sous vêtements thermiques féminins, tenues HV adaptées aux canicules etc…)

 Traiter rapidement les irritants, notamment par les conseils d’atelier avec de vrais retours et de vrais moyens, y compris à la main des managers

Travailler sur les outils :  leur ergonomie, le bruit, la sécurité…

COMMENTAIRES CFDT :

 La CFDT déplore le report de la table ronde prévue le 12 décembre. 

Elle a été reportée par la SA Réseau, à la demande d’autres organisations syndicales. 

Pour la CFDT, ce report, à une date encore inconnue, retarde la mise en oeuvre des mesures qui seront décidées, au détriment des agents.

POUR LA CFDT IL EST INDISPENSABLE ET URGENT DE PORTER LES PRÉOCCUPATIONS ET REVENDICATIONS DES AGENTS DE LA SA RÉSEAU POUR Y RÉPONDRE

 

 

 

 

 

   

 

 

 

NOS AUTRES TRACTS

Équipes de relevage du matériel, la CFDT obtient des garanties

Équipes de relevage du matériel, la CFDT obtient des garanties

cfdt cheminots e-tracts

NOS TRACTS

Équipes de relevage du matériel, la CFDT obtient des garanties

La CFDT Cheminots a été reçue en audience par la DRH groupe, en cette fin d’année 2023, avec en appui la DRH du Matériel, la DGOP (Réseau), la BUMEX (Matériel). 

 L’OBJECTIF EST MULTIPLE: 

 􀏛 Obtenir des garanties sur la poursuite des équipes Technifret dans le relevage du Matériel (suite au scénario de discontinuité imposé par l’État),

􀏛 Obtenir des garanties du maintien de l’activité Relevage au sein du Matériel, 

􀏛 Obtenir des garanties sur le financement des 2RP en remplacement des WGSI, 

􀏛 Obtenir des garanties sur le nombre de centres de relevage et leur localisation géographique. 

􀏛 Porter le sujet des équipes relevage dans le cadre de l’ouverture à la concurrence,

􀏛 Porter la question des chefs d’équipe relevage et demander une prise en considération.

 

 LES RÉPONSES DE LA DIRECTION

 􀏛 Les agents de Technifret poursuivront leur activité dans les équipes relevage (une convention a été signée en 2024 entre la SA Réseau et Fret). 

La CFDT cheminots sera vigilante à la suite de cette participation au-delà de 2024. 

􀏛 Le relevage continuera à être confié aux agents du Matériel. La direction évaluera au cas par cas les besoins d’apport, notamment avec les équipes C2MI Réseau. 

􀏛 La direction confirme la livraison de 9 engins 2RP répartis sur le territoire national, en précisant que rien n’est définitif sur leur livraison et leur emplacement. 

La CFDT veillera à ce que les engins commandés soient livrés aux équipes de relevage, ainsi qu’au maintien des centres de relevage, y compris où il n’y aura plus de wagons de secours. 

􀏛 La direction reconnait un problème avec l’affectation des agents du Matériel dans le cadre de l’ouverture à la concurrence. Le premier effet de cette concurrence se fera sentir dans la région Sud ( Paca) dès 2025. 

 

 LA CFDT VEILLERA À L’INTÉGRITÉ DES MOYENS DE RELEVAGE ET À LA POURSUITE DE CES ACTIVITÉS POUR LES AGENTS AFFECTÉS À CELLES-CI.

La CFDT Cheminots a porté le sujet des chefs d’équipe relevage car elle estime qu’aujourd’hui ces derniers ne sont pas rémunérés à hauteur de leur engagement et de leurs responsabilités. 

 EN EFFET, UN CHEF D’ÉQUIPE RELEVAGE ASSURE : 

 􀏛 Le contact régulier avec les équipes RH-GU avant et après le dérangement, parfois avec des agents relevant de plusieurs établissements différents ( TM, TI, Techninat, TEchnifret, C2MI, etc,…),

􀏛 La responsabilité du chantier pendant le relevage en appui avec le CTT (choix des modes de relevage, sécurité du chantier, visite du matériel, reconnaissance à l’aptitude au transport, ….

􀏛 La responsabilité du reconditionnement du matériel, 

􀏛 La responsabilité du respect de la réglementation du travail pour les équipes…

 

 AUJOURD’HUI, DANS DE NOMBREUSES EQUIPES RELEVAGE, PLUSIEURS AGENTS SONT CLASSE 4

 LA CFDT Cheminots ne remet pas en cause ce principe, mais a rappelé à la Direction que le principe de nécessité vaut : auparavant, un agent qui passait à la classe 4 était invité à quitter l’astreinte relevage. Aujourd’hui, si ce principe subsiste encore, notamment dans les TI, il n’est plus appliqué partout, et pour cause, dans certains cas, leurs compétences et leur spécialité ne peuvent être facilement remplacées. 

C’est pourquoi, la CFDT cheminots demande pour les chefs d’équipe relevage (et les moniteurs relevage) : 

􀏛 Le passage à la classe 5 en gardant leur métier et leur poste en production (soit une classe 5 dite « technique »),

􀏛 En attendant la nomination à la classe 5, la création d’une indemnité de Chef d’équipe relevage à la hauteur de leurs contraintes et responsabilités.

 

 LA DIRECTION S’ENGAGE À FAIRE UN ÉTAT DES LIEUX 

La Direction, notamment la DRH Matériel a été sensible aux arguments de la CFDT Cheminots, et s’est engagée à revenir vers la CFDT après avoir effectué un état des lieux de la situation. La CFDT Cheminots ne manquera pas de vous tenir informés des suites de cette revendication. 

NOS AUTRES TRACTS