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Merci d’être de plus en plus nombreux

Vous êtes de plus en plus nombreux à nous rejoindre spontanément directement en ligne ou auprès des représentants CFDT Cheminots de proximité. Depuis le début de l’année, près de 400 nouveaux adhérents nous ont rejoints. Dans un contexte d’agression sociale sans précédent contre les cheminots, ce témoignage de confiance renforce notre détermination.

  1. Non à la suppression du statut
  2. Oui à la reprise de la dette par l’État
  3. Non au passage en SA de Réseau et Mobilités
  4. Oui au développement du ferroviaire

Dans l’histoire de la SNCF, chaque fois que le statut a été remis en cause, les cheminots ont su faire reculer les gouvernements qui en avaient initié l’idée. Aujourd’hui encore nous devons tenir bon et donner ensemble au ferroviaire, à la SNCF et aux cheminots un avenir qui soit meilleur que la situation actuelle.

Adhérent·e à la CFDT Cheminots, vous pouvez vous inscrire à notre newsletter en allant sur bit.ly/2pRnFFN. Ainsi, vous serez informé·e en temps réel sur tous les sujets d’actualité du ferroviaire. Vous n’êtes pas adhérent·e mais vous souhaitez vous investir davantage dans les actions menées par la CFDT ? Envoyez un simple e-mail avec vos coordonnées à contact@cfdtcheminots.org. Vous serez ensuite contacté·e par nos militants pour prendre part à nos différentes actions.

Face à cette agression sociale, la grève doit être la plus forte possible

Du lundi 2 avril à 19 h 00 et jusqu’à jeudi 5 avril à 8 h 00, la CFDT appelle tous les cheminots à se mettre en grève pour démontrer au gouvernement leur mécontentement. Le préavis unitaire de grève (CGT, UNSA & CFDT) couvre l’ensemble des salariés du GPF et ceux appelés à les remplacer.

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INFO’ CONCERTATIONS #SPÉCIAL

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Dernière minute / En direct du ministère / Vendredi 30 mars 2018 / 16h30

Nous sommes très loin du compte !

Ce vendredi 30 mars ont eu lieu deux premières tables rondes ministérielles sur l’ouverture à la concurrence et la modernisation sociale suivant un cycle de bilatérales.

La ministre a rappelé sa concertation autour de quatre thèmes (qualité du service, ouverture à la concurrence, organisation du système et modernisation sociale). En réponse au courrier unitaire par lequel  les organisations syndicales ont enjoint le gouvernement d’engager de vraies négociations, la ministre a indiqué que la dette et le financement, le statut de l’entreprise, l’avenir du fret ferroviaire public feraient l’objet de tables rondes spécifiques au même titre que l’ouverture à la concurrence et la question des droits sociaux. Le gouvernement a présenté certains éléments des amendements qu’il souhaite apporter à son projet de loi à l’issue de cette première phase.

Concernant les modalités d’organisation du système, les principes portés seraient :

  • une ouverture progressive à la concurrence dès fin 2019 (avec un calendrier adapté pour l’Île-de-France),
  • l’ouverture sur les services commerciaux TGV en open-access avec une modulation tarifaire permettant de financer les dessertes les moins rentables.

Concernant le transfert des salariés, les amendements gouvernementaux pourraient porter sur : 

  • la priorité donnée au volontariat complété si nécessaire de transferts obligatoires, un processus d’informations des salariés avec un suivi associant les organisations syndicales,
  • la fixation des critères de transférabilité par accord de branche,
  • un « sac à dos social » incluant notamment la sécurité de l’emploi,
  • le maintien de la rémunération (fixe + indemnités + primes + gratifications),
  • la continuité dans le régime spécial de retraite,
  • le maintien des facilités de circulation dans les mêmes conditions,
  • l’accès à la médecine de soins.

La portabilité de ces droits individuels serait assurée selon le ministère, y compris en cas de mobilité choisie et de transferts successifs dans des entreprises de la branche. En revanche, les conséquences d’un refus de transfert du salarié (reclassement ou licenciement) ne sont toujours pas définies. La ministre en a renvoyé la discussion à la prochaine séance de négociation. C’est évidemment un point très dur. La CFDT Cheminots a rappelé que si une partie des dispositions positives soumises à la négociation étaient reprises de ses revendications, elles restent très largement insuffisantes. Par ailleurs, ces discussions continuent de se mener par « appartement » alors qu’il serait indispensable d’avoir une vision globale de la réforme. Sur la seule question de l’ouverture à la concurrence, les amendements gouvernementaux omettent encore de nombreux points fondamentaux : continuité du statut en cas de transfert, peu ou pas de dispositions pour les salariés contractuels, droit d’option du salarié et conséquences du refus du transfert encore non traitées, allocations familiales supplémentaires non prises en compte… Quant à la méthode de négociation, elle se fait toujours attendre. La CFDT a demandé à ce qu’une méthode engageante pour le gouvernement soit décrite dans un document écrit transmis dès la réunion de ce vendredi après-midi. La ministre s’y est engagée pour la semaine prochaine…

À ce stade, en l’absence d’avancée significative et d’éléments probants, la CFDT appelle à renforcer massivement la mobilisation dans le cadre du mouvement qui commence le 3 avril prochain.

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APPEL À LA GRÈVE

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APPEL À LA GRÈVE

Appel à la grève les 3 et 4 avril 2018

De lundi 2 avril à 19h00 jusqu’à jeudi 5 avril à 8h00

La journée de mobilisation du 22 mars a démontré la détermination des cheminots face au passage en force du gouvernement à réformer la SNCF par voie d’ordonnances. Ce projet est une attaque inouïe et sans précédent du système ferroviaire. En recourant à cette méthode, c’est l’avenir du ferroviaire français, du personnel, de la sécurité et de la qualité du service public rendu aux usagers et notamment la desserte des territoires qui seraient soustraits à un indispensable débat.

La grève doit être la plus forte possible

La CFDT appelle tous les cheminots à se mettre en grève dès lundi 2 avril à 19 h 00 et jusqu’à jeudi 5 avril à 8h00 pour démontrer au gouvernement leur mécontentement. Le préavis unitaire de grève CGT, UNSA & CFDT (fac-similé) couvre l’ensemble des salariés du GPF et ceux appelés à les remplacer.

Pourquoi y participer ? 

  • pour le retour à une organisation intégrée de la production, avec des lignes métiers fortes ;
  • pour l’abandon des plans de suppression prévus ou en cours, l’abandon des projets d’externalisation de services (ÉPIC de tête, gares, matériel, équipement, etc.) ;
  • pour la régularisation des postes précaires en emplois stables, pour la hausse du recrutement afin de faire face aux besoins de production et la réinternalisation des activités sous-traitées ;
  • pour une augmentation générale et significative des salaires et des retraites ;
  • pour le recrutement prioritaire au statut et de vraies négociations pour améliorer le RH 00254 dans le sens d’une véritable égalité de traitement entre tous les agents de la SNCF ;
  • pour les périmètres des futures instances de représentation du personnel et pour un projet unitaire.
  • pour la place d’un grand plan de relance du fret SNCF public et l’abandon du projet de filialisation.

Accédez directement au formulaire D2I et aux explications pratiques sur votre droit de grève en cliquant ici

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